Abidjan- Le ministre de l’Equipement et de l'Entretien routier, Amedé Kouakou a procédé, lundi, au lancement du Mastère professionnel transport et aménagement urbain pour assurer la mobilité, à Abidjan et dans les grandes agglomérations de la sous-région.
Ce programme mis en place au sein l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INPHB), en partenariat avec l’Ecole nationale des ponts et chaussées de Paris, s’inscrit dans la mise en œuvre du projet d’intégration Port-ville du grand Abidjan (PACOGA), initié par le gouvernement ivoirien et la Banque mondiale pour la planification urbaine, du service et de la gouvernance d’un coût global de 217 milliards de francs CFA.
Amedé Kouakou a souligné que cette formation est une première en Côte d’Ivoire et vise à répondre aux attentes en matière d’aménagement et de réalisation de projets urbains en étroite collaboration avec le milieu professionnel.
Il a également fait remarquer que ce mastère est une formation technique et managériale de haut niveau qui aborde les préceptes et les concepts contemporain de mobilité ainsi que l’usage des outils au service de la planification, de la pratique des projets et de leur opérationnalisation.
Le directeur général de l’INPHB, Koffi N’Guessan a fait savoir que la formation se fera à l’INHP au bénéfice de cadres de haut niveau sélectionnés sur dossier mais également après un entretien.
« Notre ambition est de mettre à la disposition de la Côte d’Ivoire et des régions africaines des cadres de niveau BAC+5, capables d’imaginer les systèmes de transports afin de faciliter les déplacements, penser à de niveau type de transport moins polluant et moins coûteux pour les populations », a renchéri M. N’guessan.
Ville côtière, Abidjan, mégalopole de 5 plus de millions d'habitants, s'est urbanisée sur la base d'un schéma structuré autour de quatre fonctions principales à savoir la fonction administrative, industrielle, commerciale et résidentielle. Ce qui induit un surpeuplement des banlieues et une multiplication des quartiers précaires enclavés en zone urbaine ou rejetés à la périphérie de l’agglomération.
Les conditions de transport également se dégradent et l'accès aux équipements urbains est plus difficile en particulier pour les couches les plus pauvres. Non sans occulter le manque des services publics de transport en commun et leurs tarifs qui handicapent les populations, constate-t-on.
bsb/fmo
Ce programme mis en place au sein l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny (INPHB), en partenariat avec l’Ecole nationale des ponts et chaussées de Paris, s’inscrit dans la mise en œuvre du projet d’intégration Port-ville du grand Abidjan (PACOGA), initié par le gouvernement ivoirien et la Banque mondiale pour la planification urbaine, du service et de la gouvernance d’un coût global de 217 milliards de francs CFA.
Amedé Kouakou a souligné que cette formation est une première en Côte d’Ivoire et vise à répondre aux attentes en matière d’aménagement et de réalisation de projets urbains en étroite collaboration avec le milieu professionnel.
Il a également fait remarquer que ce mastère est une formation technique et managériale de haut niveau qui aborde les préceptes et les concepts contemporain de mobilité ainsi que l’usage des outils au service de la planification, de la pratique des projets et de leur opérationnalisation.
Le directeur général de l’INPHB, Koffi N’Guessan a fait savoir que la formation se fera à l’INHP au bénéfice de cadres de haut niveau sélectionnés sur dossier mais également après un entretien.
« Notre ambition est de mettre à la disposition de la Côte d’Ivoire et des régions africaines des cadres de niveau BAC+5, capables d’imaginer les systèmes de transports afin de faciliter les déplacements, penser à de niveau type de transport moins polluant et moins coûteux pour les populations », a renchéri M. N’guessan.
Ville côtière, Abidjan, mégalopole de 5 plus de millions d'habitants, s'est urbanisée sur la base d'un schéma structuré autour de quatre fonctions principales à savoir la fonction administrative, industrielle, commerciale et résidentielle. Ce qui induit un surpeuplement des banlieues et une multiplication des quartiers précaires enclavés en zone urbaine ou rejetés à la périphérie de l’agglomération.
Les conditions de transport également se dégradent et l'accès aux équipements urbains est plus difficile en particulier pour les couches les plus pauvres. Non sans occulter le manque des services publics de transport en commun et leurs tarifs qui handicapent les populations, constate-t-on.
bsb/fmo