Voici déjà quelques jours que Grand-Bassam, ville historique, ancienne capitale de la Côte d’Ivoire, et patrimoine mondial de l’Unesco, est sous les eaux. Une inondation provoquée par une crue a obligé plusieurs ménages dans les quartiers Oddos, Phare, Petit-Paris, Lycée, Moossou ainsi que le quartier France à vider les domiciles.
Le quartier France de Grand-Bassam, considéré comme le cœur historique de la ville, le site classé patrimoine mondial de l’UNESCO, est devenue une zone sinistrée considérée comme zone à risque. C’est avec désolation que les habitants de ces quartiers constatent, impuissants, la montée des eaux à quelques mettre de la plage.
Beaucoup vivent déjà le traumatisme de cette crue inattendue en pleine petite saison des pluies. De quoi à susciter du désespoir, de l’inquiétude, de la tristesse, en plus des blessures dont certains sinistrés ont été victimes en raison. Des blessures consécutives à la présence de clous, de débris de verre invisibles sous les eaux, qui ont inondé les domiciles.
Il aura fallu la vigilance des agents de la Compagnie ivoirienne de l’électricité, qui ont réagi spontanément en interrompant la fourniture d’électricité pour éviter des cas d’électrocutions, dans ces quartiers sinistrés.
Le drame de ces habitants continue, ceux-ci, ayant pour la plupart, trouvé refuges chez des proches, d’autres relogés dans des édifices publics affrétés à cet effet ou ayant carrément rejoint des familles à Abidjan, Bonoua ou des localités environnantes.
Ces familles, celles restées sur place à Grand-Bassam, ont reçu des soutiens. Notamment des vivres et non-vivres d’une valeur de 9 millions de F Cfa du gouvernement par le ministère de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté, ainsi que du maire Jean Louis Moulot. Elles ont bénéficié de l’assistance des sapeurs-pompiers, de la police ainsi que de certains particuliers. Mais, les domiciles demeurent encore sous les eaux, et la peur de la poursuite des pluies diluviennes les contraint à vivre hors de leurs cadres habituels, dans des conditions précaires, exposées à de nouveaux risques, notamment sanitaires.
Mam Dieng
Le quartier France de Grand-Bassam, considéré comme le cœur historique de la ville, le site classé patrimoine mondial de l’UNESCO, est devenue une zone sinistrée considérée comme zone à risque. C’est avec désolation que les habitants de ces quartiers constatent, impuissants, la montée des eaux à quelques mettre de la plage.
Beaucoup vivent déjà le traumatisme de cette crue inattendue en pleine petite saison des pluies. De quoi à susciter du désespoir, de l’inquiétude, de la tristesse, en plus des blessures dont certains sinistrés ont été victimes en raison. Des blessures consécutives à la présence de clous, de débris de verre invisibles sous les eaux, qui ont inondé les domiciles.
Il aura fallu la vigilance des agents de la Compagnie ivoirienne de l’électricité, qui ont réagi spontanément en interrompant la fourniture d’électricité pour éviter des cas d’électrocutions, dans ces quartiers sinistrés.
Le drame de ces habitants continue, ceux-ci, ayant pour la plupart, trouvé refuges chez des proches, d’autres relogés dans des édifices publics affrétés à cet effet ou ayant carrément rejoint des familles à Abidjan, Bonoua ou des localités environnantes.
Ces familles, celles restées sur place à Grand-Bassam, ont reçu des soutiens. Notamment des vivres et non-vivres d’une valeur de 9 millions de F Cfa du gouvernement par le ministère de la Solidarité et de la Lutte contre la Pauvreté, ainsi que du maire Jean Louis Moulot. Elles ont bénéficié de l’assistance des sapeurs-pompiers, de la police ainsi que de certains particuliers. Mais, les domiciles demeurent encore sous les eaux, et la peur de la poursuite des pluies diluviennes les contraint à vivre hors de leurs cadres habituels, dans des conditions précaires, exposées à de nouveaux risques, notamment sanitaires.
Mam Dieng