Maurice Kakou Guikahué, le président du groupe parlementaire PDCI-RDA voulait coûte que coûte hier être nommé Vice-président de l’Assemblée Nationale. Pour arriver à ses fins, il avait tambourine, tempêté et manipulé d’autres groupes parlementaires minoritaires au parlement. En vue de bloquer toutes les initiatives du nouveau PAN, Amadou Soumahoro. Il a trouvé devant lui, un dur à cuire, ‘’Tchomba’’.
Maurice Kakou Guikahué, député au titre du plus vieux parti à l’Assemblée Nationale voulait un poste de Vice-président. Pour prendre sa revanche sur le RHDP et par ricochet, le président de la République, SEM Alassane qui ne lui aurait pas confié hier un poste de ministre, de PCA, de DG ou de président d’Institution. L’homme qui a la rancune tenace se servait hier des groupes parlementaires tels que Vox Populi de Yasmina Ouégnin et Rassemblement de Célestine Trazéré. Qu’est-ce qui faisait tant courir le Cardiologue du président Félix Houphouët-Boigny ?
• Un poste de Vice-président ?
A la maison du PDCI-RDA à Cocody, il se murmure que l’homme ne cachait pas ses ressentiments quant à ce régime. Maurice Kakou Guikahué se targuerait en privé d’avoir donné hier sa poitrine à l’Hôtel de Golf pour l’accession au pouvoir du président Ouattara. En retour, il n’aurait pas été récompensé et ruminait une soif de revanche et de vengeance. Ses discours au ton guerrier qu’on peut citer à profusion démontraient sa haine viscérale contre le pouvoir d’Abidjan. Comment arriver à se venger de ce régime ? Il a cherché et trouvé. Il voulait se contenter d’un poste de Vice-président de l’Assemblée nationale comme ses devanciers Silué Kagnon Augustin ou Eugène Aka Aouélé du PDCI-RDA. Mais l’intention cachée de Maurice Kakou Guikahué, il n’en parlait que dans des cercles fermés : mener la vie dure au nouveau PAN, Amadou Soumahoro, bloquer régulièrement les travaux du Bureau de l’Assemblée Nationale.
Maurice Kakou Guikahué était en mission commandée pour le compte du PDCI-Daoukro au sein de l’hémicycle. Il devait batailler pour être parmi les membres de la conférence des présidents. Se battre aussi pour une représentation équitable dans le Bureau de l’Assemblée Nationale des groupes parlementaires issus de l’opposition. Ainsi, il pourra aisément ‘’manœuvrer’’ pour bloquer toutes les initiatives du nouveau président. C’est pour exécuter sans entraves cette feuille de route que l’homme s’est attaché les services de Yasmina Ouégnin (Vox Populi) et Célestine Trazéré (Rassemblement). Pour le soutenir. C’est donc lui le grand manipulateur des députés de l’opposition. Pour des crises à répétition au Parlement.
Le Secrétaire Exécutif en chef du PDCI-RDA et député de la sous-préfecture de Gagnoa serait le vrai problème de cette législature. Car cet élu de la nation se comporterait comme ‘’les microbes’’, ces enfants en rupture de banc avec la loi. C’est lui qui manipulerait à sa guise les députés Yasmina Ouégnin et Célestine Trazéré qui l’accompagnaient dans ses revendications. Pour un problème de postes de Vice-présidents ou de Secrétaires de séances, Guikahué, Yasmina et Trazéré avaient-ils vraiment besoin de l’Union Africaine pour si peu ? Que faisaient-ils du dialogue à l’ivoirienne prêché hier par le président Houphouët-Boigny ?
Comme son mentor dans son livre ‘’Les chemins de ma vie’’, Maurice Kakou Guikahué avait aussi ses ‘’suiveurs’’ : Yasmina Ouégnin et Trazéré Célestine. Ces deux dames ont été ‘’recrutées’’ par lui pour véhiculer le venin de la grande division au sein du Parlement. Elles étaient chargées de mener la campagne d’intox et de manipulation au sein de leurs collègues députés. Et elles jouaient hier très bien leur ‘’rôle de nuisance’’ contre le PAN Amadou Soumahoro, en se répandant régulièrement dans la presse. Récitant la leçon que leur a apprise Maurice Kakou Guikahué. Elles recrutaient donc au sein des députés de l’opposition. Le Secrétaire Exécutif du PDCI-RDA passait hier, ainsi pour ‘’le nouveau chef de la rébellion’’ en place contre ‘’Tchomba’’. Mais ‘’Tchomba’’ était toujours ouvert au dialogue. Aujourd’hui, face à la sagesse politique, au bon ton et au dialogue, ‘’Tchomba’’ a aujourd’hui ‘’vaincu’’ Guikahué qu’il a contraint d’abdiquer. Les clameurs se sont tues. La paix des braves est revenue au sein de l’hémicycle grâce à la ‘’diplomatie parlementaire’’ gagnante de ‘’Tchomba’’.
Igor Wawayou
Maurice Kakou Guikahué, député au titre du plus vieux parti à l’Assemblée Nationale voulait un poste de Vice-président. Pour prendre sa revanche sur le RHDP et par ricochet, le président de la République, SEM Alassane qui ne lui aurait pas confié hier un poste de ministre, de PCA, de DG ou de président d’Institution. L’homme qui a la rancune tenace se servait hier des groupes parlementaires tels que Vox Populi de Yasmina Ouégnin et Rassemblement de Célestine Trazéré. Qu’est-ce qui faisait tant courir le Cardiologue du président Félix Houphouët-Boigny ?
• Un poste de Vice-président ?
A la maison du PDCI-RDA à Cocody, il se murmure que l’homme ne cachait pas ses ressentiments quant à ce régime. Maurice Kakou Guikahué se targuerait en privé d’avoir donné hier sa poitrine à l’Hôtel de Golf pour l’accession au pouvoir du président Ouattara. En retour, il n’aurait pas été récompensé et ruminait une soif de revanche et de vengeance. Ses discours au ton guerrier qu’on peut citer à profusion démontraient sa haine viscérale contre le pouvoir d’Abidjan. Comment arriver à se venger de ce régime ? Il a cherché et trouvé. Il voulait se contenter d’un poste de Vice-président de l’Assemblée nationale comme ses devanciers Silué Kagnon Augustin ou Eugène Aka Aouélé du PDCI-RDA. Mais l’intention cachée de Maurice Kakou Guikahué, il n’en parlait que dans des cercles fermés : mener la vie dure au nouveau PAN, Amadou Soumahoro, bloquer régulièrement les travaux du Bureau de l’Assemblée Nationale.
Maurice Kakou Guikahué était en mission commandée pour le compte du PDCI-Daoukro au sein de l’hémicycle. Il devait batailler pour être parmi les membres de la conférence des présidents. Se battre aussi pour une représentation équitable dans le Bureau de l’Assemblée Nationale des groupes parlementaires issus de l’opposition. Ainsi, il pourra aisément ‘’manœuvrer’’ pour bloquer toutes les initiatives du nouveau président. C’est pour exécuter sans entraves cette feuille de route que l’homme s’est attaché les services de Yasmina Ouégnin (Vox Populi) et Célestine Trazéré (Rassemblement). Pour le soutenir. C’est donc lui le grand manipulateur des députés de l’opposition. Pour des crises à répétition au Parlement.
Le Secrétaire Exécutif en chef du PDCI-RDA et député de la sous-préfecture de Gagnoa serait le vrai problème de cette législature. Car cet élu de la nation se comporterait comme ‘’les microbes’’, ces enfants en rupture de banc avec la loi. C’est lui qui manipulerait à sa guise les députés Yasmina Ouégnin et Célestine Trazéré qui l’accompagnaient dans ses revendications. Pour un problème de postes de Vice-présidents ou de Secrétaires de séances, Guikahué, Yasmina et Trazéré avaient-ils vraiment besoin de l’Union Africaine pour si peu ? Que faisaient-ils du dialogue à l’ivoirienne prêché hier par le président Houphouët-Boigny ?
Comme son mentor dans son livre ‘’Les chemins de ma vie’’, Maurice Kakou Guikahué avait aussi ses ‘’suiveurs’’ : Yasmina Ouégnin et Trazéré Célestine. Ces deux dames ont été ‘’recrutées’’ par lui pour véhiculer le venin de la grande division au sein du Parlement. Elles étaient chargées de mener la campagne d’intox et de manipulation au sein de leurs collègues députés. Et elles jouaient hier très bien leur ‘’rôle de nuisance’’ contre le PAN Amadou Soumahoro, en se répandant régulièrement dans la presse. Récitant la leçon que leur a apprise Maurice Kakou Guikahué. Elles recrutaient donc au sein des députés de l’opposition. Le Secrétaire Exécutif du PDCI-RDA passait hier, ainsi pour ‘’le nouveau chef de la rébellion’’ en place contre ‘’Tchomba’’. Mais ‘’Tchomba’’ était toujours ouvert au dialogue. Aujourd’hui, face à la sagesse politique, au bon ton et au dialogue, ‘’Tchomba’’ a aujourd’hui ‘’vaincu’’ Guikahué qu’il a contraint d’abdiquer. Les clameurs se sont tues. La paix des braves est revenue au sein de l’hémicycle grâce à la ‘’diplomatie parlementaire’’ gagnante de ‘’Tchomba’’.
Igor Wawayou