Convoquées par l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), l’Assemblée des radiocommunications et de la Conférence mondiale des radiocommunications se dérouleront respectivement du 21 au 25 octobre et du 28 octobre au 22 novembre 2019 en Egypte à Charm El Sheikh. Il s’agira pour les experts des radiocommunications des 196 Etats-membres de l’UIT, de discuter sur l’impact considérable du futur des télécommunications sans fil dans le monde.
Les Conférences mondiales des radiocommunications en abrégé CMR qui se tiennent environ tous les quatre ans ont pour but d’examiner les questions de télécommunications hertziennes et de réviser le Règlement des radiocommunications (RR).
Ce règlement est le traité international régissant l'utilisation efficace du spectre des fréquences radioélectriques et des orbites des satellites. Il sert de base à tous les Etats pour définir l’utilisation des fréquences à l’intérieur de leurs frontières géographiques.
C’est donc sous la houlette du Ministère de l’Economie Numérique et de la Poste de la Côte d’Ivoire que l’Agence Ivoirienne de Gestion des Fréquences radioélectriques (AIGF), structure étatique qui gère les fréquences, prendra part aux discussions en Egypte. Il est à noter la présence du Dr Yacouba Coulibaly, Directeur général de l’AIGF et de son équipe composée de son Conseiller Spécial, Monsieur Kouamé Bini, du Directeur de la Planification du Spectre et des Affaires Internationales et d’autres experts en la matière.
L’enjeu pour les Ivoiriens est d’autant plus important que notre pays est aussi candidat pour les postes de vice-présidents de la commission d’études 4 relative aux services par satellites et de la commission d’études 5 portant sur les services de Terre du Secteur des radiocommunications de l’UIT.
Les télécommunications n’ont cessé de se développer depuis le siècle dernier dans tous les secteurs. Un élément clé qui marque cette croissance exponentielle ces dernières décennies est la mobilité, c’est-à-dire la possibilité que les utilisateurs ont de pouvoir communiquer ou échanger des données tout en se déplaçant. Cet atout qu’offrent les télécommunications se base pour la plupart du temps sur les communications hertziennes donc sans fil.
Parce qu’il est limité, le spectre des fréquences est une ressource rare d’où la nécessité de le gérer au niveau national certes, mais d’en coordonner la gestion au niveau international. Car, se pose la question de l’allocation de quantité suffisante de spectre à chacun des secteurs utilisateurs de fréquences (mobile, maritime, aéronautique, radiodiffusion, satellitaire, etc.) de sorte à permettre leur bon fonctionnement.
C’est en ce sens que l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), agence des Nations Unies pour le développement des TIC, est l’organisme en charge de la gestion des fréquences au niveau mondial en accord avec tous les pays et que l’AIGF en est l’interlocuteur privilégié en Côte d’Ivoire. Une chose est certaine en télécommunications, les communications sans fil sont incontestablement la voie de l’avenir.
Source : Frat-Mat
Les Conférences mondiales des radiocommunications en abrégé CMR qui se tiennent environ tous les quatre ans ont pour but d’examiner les questions de télécommunications hertziennes et de réviser le Règlement des radiocommunications (RR).
Ce règlement est le traité international régissant l'utilisation efficace du spectre des fréquences radioélectriques et des orbites des satellites. Il sert de base à tous les Etats pour définir l’utilisation des fréquences à l’intérieur de leurs frontières géographiques.
C’est donc sous la houlette du Ministère de l’Economie Numérique et de la Poste de la Côte d’Ivoire que l’Agence Ivoirienne de Gestion des Fréquences radioélectriques (AIGF), structure étatique qui gère les fréquences, prendra part aux discussions en Egypte. Il est à noter la présence du Dr Yacouba Coulibaly, Directeur général de l’AIGF et de son équipe composée de son Conseiller Spécial, Monsieur Kouamé Bini, du Directeur de la Planification du Spectre et des Affaires Internationales et d’autres experts en la matière.
L’enjeu pour les Ivoiriens est d’autant plus important que notre pays est aussi candidat pour les postes de vice-présidents de la commission d’études 4 relative aux services par satellites et de la commission d’études 5 portant sur les services de Terre du Secteur des radiocommunications de l’UIT.
Les télécommunications n’ont cessé de se développer depuis le siècle dernier dans tous les secteurs. Un élément clé qui marque cette croissance exponentielle ces dernières décennies est la mobilité, c’est-à-dire la possibilité que les utilisateurs ont de pouvoir communiquer ou échanger des données tout en se déplaçant. Cet atout qu’offrent les télécommunications se base pour la plupart du temps sur les communications hertziennes donc sans fil.
Parce qu’il est limité, le spectre des fréquences est une ressource rare d’où la nécessité de le gérer au niveau national certes, mais d’en coordonner la gestion au niveau international. Car, se pose la question de l’allocation de quantité suffisante de spectre à chacun des secteurs utilisateurs de fréquences (mobile, maritime, aéronautique, radiodiffusion, satellitaire, etc.) de sorte à permettre leur bon fonctionnement.
C’est en ce sens que l’Union Internationale des Télécommunications (UIT), agence des Nations Unies pour le développement des TIC, est l’organisme en charge de la gestion des fréquences au niveau mondial en accord avec tous les pays et que l’AIGF en est l’interlocuteur privilégié en Côte d’Ivoire. Une chose est certaine en télécommunications, les communications sans fil sont incontestablement la voie de l’avenir.
Source : Frat-Mat