Paris (France) – « Le Conseil de l’Organisation internationale du cacao (ICCO) soutient l’accord historique qui a eu lieu entre la Côte d’Ivoire et le Ghana, sous la vision éclairée des Président Alassane Ouattara et Nana Akufo-Addo », pour améliorer les revenus des cacaoculteurs, révèle le porte-parole des pays producteurs de l’ICCO, Aly Touré.
Interrogé en marge d’une session d’information sur la situation des producteurs de cacao de la Côte d’Ivoire et du Ghana, mercredi au 25ème Salon du chocolat de Paris, au Parc d’expositions de la Porte de Versailles, M. Touré a salué l’action des deux pays qui se matérialise à travers le Conseil du café-cacao et Ghana Cocoa Board.
Selon le porte-parole des pays producteurs de l’ICCO, cet accord conjoint est encourageant parce qu’il permet d’améliorer le prix d’achat de la fève aux producteurs. C’est pourquoi, il demande aux producteurs d’être confiants, car le travail qui est en train d’être fait suite à l’accord entre les deux pays - cumulant 65% de la production mondiale - est à saluer.
« Par ailleurs, nous sommes allés au Portugal avec l’Association européenne de cacao, nous sommes allés à Berlin avec la World Cocoa Foundation pour discuter avec les industriels et les multinationales. Tout le monde est d’accord aujourd’hui qu’il faut faire quelque chose pour les producteurs. Tout le monde est d’accord qu’il faut améliorer les conditions de vie des producteurs », a-t-il relevé.
« Au niveau du collège des producteurs, nous sommes confiants quant à la suite à donner au prix », a poursuivi M. Touré. Il dit fonder son espoir sur les discussions auxquelles il a assisté entre le Conseil du café-cacao et les multinationales à Berlin et au Portugal.
Il en est ressorti que le secteur privé a compris la nécessité d’améliorer le prix aux producteurs si l’on veut avoir une économie cacaoyère durable, a poursuivi Aly Touré. « Si nous voulons une économie cacaoyère durable, alors il faut adresser de manière courageuse, le prix qu’on paie aux producteurs », martèle-t-il.
Sur 100 milliards de dollars que génère l’industrie mondiale du cacao, les pays producteurs ne reçoivent que 5% à peine, a regretté Aly Touré, également Représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des organisations internationales de produits de base à Londres.
cmas
Interrogé en marge d’une session d’information sur la situation des producteurs de cacao de la Côte d’Ivoire et du Ghana, mercredi au 25ème Salon du chocolat de Paris, au Parc d’expositions de la Porte de Versailles, M. Touré a salué l’action des deux pays qui se matérialise à travers le Conseil du café-cacao et Ghana Cocoa Board.
Selon le porte-parole des pays producteurs de l’ICCO, cet accord conjoint est encourageant parce qu’il permet d’améliorer le prix d’achat de la fève aux producteurs. C’est pourquoi, il demande aux producteurs d’être confiants, car le travail qui est en train d’être fait suite à l’accord entre les deux pays - cumulant 65% de la production mondiale - est à saluer.
« Par ailleurs, nous sommes allés au Portugal avec l’Association européenne de cacao, nous sommes allés à Berlin avec la World Cocoa Foundation pour discuter avec les industriels et les multinationales. Tout le monde est d’accord aujourd’hui qu’il faut faire quelque chose pour les producteurs. Tout le monde est d’accord qu’il faut améliorer les conditions de vie des producteurs », a-t-il relevé.
« Au niveau du collège des producteurs, nous sommes confiants quant à la suite à donner au prix », a poursuivi M. Touré. Il dit fonder son espoir sur les discussions auxquelles il a assisté entre le Conseil du café-cacao et les multinationales à Berlin et au Portugal.
Il en est ressorti que le secteur privé a compris la nécessité d’améliorer le prix aux producteurs si l’on veut avoir une économie cacaoyère durable, a poursuivi Aly Touré. « Si nous voulons une économie cacaoyère durable, alors il faut adresser de manière courageuse, le prix qu’on paie aux producteurs », martèle-t-il.
Sur 100 milliards de dollars que génère l’industrie mondiale du cacao, les pays producteurs ne reçoivent que 5% à peine, a regretté Aly Touré, également Représentant permanent de la Côte d’Ivoire auprès des organisations internationales de produits de base à Londres.
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