Abidjan- La ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant, Pr Bakayoko Ly Ramata, appelle à rompre le silence pour dénoncer les auteurs de violences sur les mineurs.
Invitée, jeudi, de la 13ème Tribune de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), jeudi, Mme Ramata a souligné que l’Etat fait sa part en créant une plateforme pour lutter contre les violences faites aux mineurs, en formant les leaders communautaires à s’engager, en formant des volontaires pour prévenir et prendre en charge les cas de violences faites aux mineurs et en appréhendant les auteurs de ces cas de violences.
Mais, a-t-elle souligné, les populations doivent faire leur part en brisant le silence sur ces cas et en dénonçant les auteurs qui commettent les violences sur les mineurs parce que ce sont des crimes que ces auteurs commettent mais surtout parce que ces enfants sont l’avenir de la Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire vient de renforcer la loi sur les peines de viol, a-t-elle rappelé, interpellant les populations à revenir à certaines valeurs.
La ministre Ly Ramata s’exprimait sur le thème « Droit de la femme, de la famille et de l’enfant : acquis, défis et perspectives » en présence de la secrétaire d’Etat en charge de l’Autonomisation de la femme, Myss Belmonde Dogo et de la directrice centrale de l’AIP, Barry Oumou Sana.
sdaf/ask
Invitée, jeudi, de la 13ème Tribune de l’Agence ivoirienne de presse (AIP), jeudi, Mme Ramata a souligné que l’Etat fait sa part en créant une plateforme pour lutter contre les violences faites aux mineurs, en formant les leaders communautaires à s’engager, en formant des volontaires pour prévenir et prendre en charge les cas de violences faites aux mineurs et en appréhendant les auteurs de ces cas de violences.
Mais, a-t-elle souligné, les populations doivent faire leur part en brisant le silence sur ces cas et en dénonçant les auteurs qui commettent les violences sur les mineurs parce que ce sont des crimes que ces auteurs commettent mais surtout parce que ces enfants sont l’avenir de la Côte d’Ivoire.
La Côte d’Ivoire vient de renforcer la loi sur les peines de viol, a-t-elle rappelé, interpellant les populations à revenir à certaines valeurs.
La ministre Ly Ramata s’exprimait sur le thème « Droit de la femme, de la famille et de l’enfant : acquis, défis et perspectives » en présence de la secrétaire d’Etat en charge de l’Autonomisation de la femme, Myss Belmonde Dogo et de la directrice centrale de l’AIP, Barry Oumou Sana.
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