Le ministre AMON TANO, ministre des Affaires Etrangères qui était face aux députés ivoiriens, le mardi 5 novembre dernier, répondant à une préoccupation d’un député concernant la monnaie ECO, a indiqué que la nouvelle monnaie vient répondre aux différentes critiques contre le Fcfa. Sans toutefois s’appesantir sur le débat concernant cette nouvelle monnaie, il a noté qu’il s’agit d’ouvrir l’espace du FCFA à d’autres pays de l’Afrique de l’ouest. Il a donc souhaité que tous les pays rejoignent cette monnaie qui fonctionnera très bientôt. Il est revenu sur la libre circulation des hommes et des biens dans la sous-région. Pour lui, il faut que la libre circulation des biens et des hommes soient une réalité. C’est bien une préoccupation de tous les Etats membres de la CEDEAO, a-t-il rassuré. En affirmant ainsi, le ministre répondait toujours à une préoccupation d’un député qui s’inquiétait des difficultés rencontrées par certains Ivoiriens dans le cadre de leur exercice professionnelle dans la sous-région. Le ministre des Affaires Etrangères face aux députés de la commission des relations extérieures a défendu valablement quatre projets de loi tenant à cœur le président de la république, Alassane OUATTARA. La détermination avec laquelle l’émissaire du président Alassane Ouattara a présenté ces quatre projets de loi a permis aux députés leur adoption. Il s’agit entre autres du projet de loi autorisant le président de la république à ratifier la convention sur l’assistance en cas d’accident nucléaire ou situation d’urgence radiologique, signée le 26 septembre 1986, à Vienne. Ce projet de loi comportait un article unique adopté grâce à la magnanimité du ministre Amon. L’autorité ministérielle a également défendu l’importance du projet de loi autorisant le président de la république à ratifier le protocole Additionnel A/SP2/12/01 portant amendement du protocole portant création d’une Carte Brune Cedeao relative à l’Assurance responsabilité civile automobile aux Tiers. Ce projet de loi a été également adopté par la commission des affaires étrangères de l’assemblée nationale sous la houlette du ministre Amon Tanoh. Un autre projet de loi autorisant le président de la république à ratifier le Protocole Additionnel A/SA 3/6/16 portant amendement du protocole de création d’une Carte Brune Cedeao, relative à l’assurance responsabilité civile automobile aux tiers. Le ministre SANOGO du budget, chargé du portefeuille de l’Etat a quant à lui défendu cinq projets de loi adoptés par les députés ivoiriens de la commission des affaires économiques et financières. Alors que le président de l’assemblée nationale, Amadou Soumahoro n’était pas attendu aux travaux des deux commissions, l’amour du travail l’a conduit à prendre part à ce moment, l’après-midi de ce jour, à la surprise générale des députés. C’était une grande joie qui a animé les députés de la commission des affaires économiques et financières qui ont adopté tous les projets de loi tard dans la nuit.
La politique de la chaise vide tue l’opposition
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la politique de la chaise vide de l’opposition ivoirienne notamment les pro-Gbagbo tue cette opposition ivoirienne. Le boycott des élections dans lequel le parti de Gbagbo s’est engagé depuis la chute de leur mentor aujourd’hui à la CPI n’a rien apporté à ce parti qui d’ailleurs a reculé de 1000 ans. Un parti en lambeau sur lequel compte le parti de Bédié pour espérer gagner une élection présidentielle à la portée d’un parti bien organisé et structuré, le RHDP du président Alassane Ouattara. C’est de bonne guerre car ces deux partis, le PDCI-Daoukro et le FPI de Gbagbo n’ont jamais eu une bonne ambition politique pour faire avancer la Côte d’Ivoire.
Jeanne Auréole
La politique de la chaise vide tue l’opposition
Le moins que l’on puisse dire, c’est que la politique de la chaise vide de l’opposition ivoirienne notamment les pro-Gbagbo tue cette opposition ivoirienne. Le boycott des élections dans lequel le parti de Gbagbo s’est engagé depuis la chute de leur mentor aujourd’hui à la CPI n’a rien apporté à ce parti qui d’ailleurs a reculé de 1000 ans. Un parti en lambeau sur lequel compte le parti de Bédié pour espérer gagner une élection présidentielle à la portée d’un parti bien organisé et structuré, le RHDP du président Alassane Ouattara. C’est de bonne guerre car ces deux partis, le PDCI-Daoukro et le FPI de Gbagbo n’ont jamais eu une bonne ambition politique pour faire avancer la Côte d’Ivoire.
Jeanne Auréole