Bakayoko Ly Ramata, ministre de la Femme, de la Famille et de l'Enfant, était l’invitée, le jeudi dernier, de la tribune d’échanges de l’AIP (Agence ivoirienne de presse), au Plateau. Ces échanges avec la presse a porté sur le thème : « Droits de la femme, de la famille, et de l’enfant, acquis, perspectives et prérequis ». A cette occasion, la ministre Ly- Ramata Bakayoko s’est prononcée sur les mesures arrêtées par le gouvernement pour mettre fin aux sinistres cas de viol signalé sur les jeunes filles et sur les personnes vulnérables. Selon elle, des mesures ont été arrêtées pour freiner ces cas de viols qu’elle considère comme des actes ignobles et vulgaires. Elle a donc annoncé, pour ce faire, le renforcement du code pénal qui prévoit « la peine de condamnation à vie » pour tout auteur de ces actes sur les personnes vulnérables et les mineurs. Elle s’est par ailleurs réjouie que « plusieurs acteurs de ces cas de viols ont été appréhendés ». « Nous allons appliquer la tolérance zéro, le viol ne sera plus impunie et sera condamné », a-t-elle prévenu. Pour les victimes de viol, la ministre de la Femme, de la famille et de l’enfant a annoncé des prises en charge sont prévues.
Pour Ly-Ramata Bakayoko, il faut une implication de tous dans la sensibilisation. Elle a profité de cette tribune pour demander aux populations et aux chefs religieux de bannir la loi du silence et de s’impliquer corps et âme dans la mise en place des stratégies de protection de la jeune fille en dénonçant les acteurs de ces cas de viols. A cet effet, un numéro vert le « 116 » a été mis en place.
S.S
Pour Ly-Ramata Bakayoko, il faut une implication de tous dans la sensibilisation. Elle a profité de cette tribune pour demander aux populations et aux chefs religieux de bannir la loi du silence et de s’impliquer corps et âme dans la mise en place des stratégies de protection de la jeune fille en dénonçant les acteurs de ces cas de viols. A cet effet, un numéro vert le « 116 » a été mis en place.
S.S