Abengourou - Le directeur régional des Eaux et forêts d’Abengourou a invité vendredi les populations de l'Indénié-Djuablin à planter 14 000 arbres sur la dizaine de sites réservés dans les trois départements de la région pour marquer leur engagement pour une cité de la paix plus verte.
Le directeur régional des Eaux et forêts s’exprimait à l’occasion d’une opération de planting d’arbres couplée de la célébration de la journée nationale de la paix organisées à l'école régionale d'agriculture d'Abengourou. Il a indiqué à l'occasion qu’il est plus que nécessaire que les ressources forestières indispensables à la satisfaction des besoins en bois, soient constituées par tous plutôt que d’attendre tout de la forêt naturelle qui est aujourd’hui appauvrie.
Les données statistiques selon le DR des Eaux et forêts indiquent qu’entre 1990 et 2015, la forêt au niveau de la région d’Abengourou est passée de 340 000 hectares à 73 800 hectares. Cette déforestation a pour cause l’agriculture extensive, l’exploitation illégale des forêts, les feux de brousse et l’orpaillage clandestin.
« La poursuite de cette tendance aura des conséquences sur la population à court et à moyen terme », a fait savoir le DR des Eaux et forêts tout en prévenant les populations sur les risques encourus en continuant d’ignorer les causes des bouleversements climatiques observés ces dernières années.
(AIP)
nam/kam
Le directeur régional des Eaux et forêts s’exprimait à l’occasion d’une opération de planting d’arbres couplée de la célébration de la journée nationale de la paix organisées à l'école régionale d'agriculture d'Abengourou. Il a indiqué à l'occasion qu’il est plus que nécessaire que les ressources forestières indispensables à la satisfaction des besoins en bois, soient constituées par tous plutôt que d’attendre tout de la forêt naturelle qui est aujourd’hui appauvrie.
Les données statistiques selon le DR des Eaux et forêts indiquent qu’entre 1990 et 2015, la forêt au niveau de la région d’Abengourou est passée de 340 000 hectares à 73 800 hectares. Cette déforestation a pour cause l’agriculture extensive, l’exploitation illégale des forêts, les feux de brousse et l’orpaillage clandestin.
« La poursuite de cette tendance aura des conséquences sur la population à court et à moyen terme », a fait savoir le DR des Eaux et forêts tout en prévenant les populations sur les risques encourus en continuant d’ignorer les causes des bouleversements climatiques observés ces dernières années.
(AIP)
nam/kam