Un atelier régional dénommé « Marketplace » initié dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de gestion du littoral Ouest-africain (WACA) se tient depuis lundi à Abidjan.
Cette rencontre d’échanges a été organisée par la Banque mondiale en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du Développement durable en vue de faciliter et de simplifier le processus de mise en relation pour les nouveaux projets et investissements et d’entamer un dialogue entre les pays, les potentiels partenaires financiers et la plateforme WACA.
Selon le directeur régional, développement durable pour l’Afrique du Groupe de la Banque mondiale, Siméon Ehui, cet atelier permettra d’aborder un ensemble de questions sur les efforts que déploie la Banque mondiale pour transformer les vies.
« Pour avoir une Afrique prospère, nous avons besoin d’une approche multisectorielle, des solutions à l’échelle qui dépassent les frontières des pays, du leadership dans la conception et le suivi des plans de développement, mais également d’une coordination au niveau régional», a fait noter M. Ehui.
Procédant à l’ouverture de ce marketplace initiée par la Banque mondiale, le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka a estimé que cette rencontre d’échanges revêt une importance capitale parce qu’elle vise à aider les pays de l’Afrique de l’ouest à la prise en charge de la gestion de leur zone côtière.
Le ministre Séka Séka a souligné qu’en Côte d’Ivoire, la zone côtière produit à elle seule 90% des recettes douanières et occupe une place de choix dans l’économie ivoirienne.
«Avec les nombreuses potentialités économiques, socioculturelles, environnementales que la zone côtière renferme, il apparaît impérieux d’y apporter une attention particulière en vue de la rendre résiliente face au changement climatique en général et à l’érosion côtière en particulier», a-t-il indiqué.
Reposant sur trois piliers à savoir, la connaissance, la finance et le dialogue, la plateforme WACA lancé en novembre 2018 à Dakar, gère des projets d’investissement en cours d’exécution dans six pays notamment, le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, Sao Tomé et Principe, le Sénégal et le Togo.
Ce marketplace qui prend fin ce mardi est le deuxième dialogue régional avec le secteur privé. Le premier s’est tenu à Abidjan en février sur le thème « Comment impliquer davantage le secteur privé dans la mise en œuvre d’actions visant à préserver le littoral ouest-africain.
(AIP)
bsb/kam
Cette rencontre d’échanges a été organisée par la Banque mondiale en partenariat avec le ministère de l’Environnement et du Développement durable en vue de faciliter et de simplifier le processus de mise en relation pour les nouveaux projets et investissements et d’entamer un dialogue entre les pays, les potentiels partenaires financiers et la plateforme WACA.
Selon le directeur régional, développement durable pour l’Afrique du Groupe de la Banque mondiale, Siméon Ehui, cet atelier permettra d’aborder un ensemble de questions sur les efforts que déploie la Banque mondiale pour transformer les vies.
« Pour avoir une Afrique prospère, nous avons besoin d’une approche multisectorielle, des solutions à l’échelle qui dépassent les frontières des pays, du leadership dans la conception et le suivi des plans de développement, mais également d’une coordination au niveau régional», a fait noter M. Ehui.
Procédant à l’ouverture de ce marketplace initiée par la Banque mondiale, le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Joseph Séka Séka a estimé que cette rencontre d’échanges revêt une importance capitale parce qu’elle vise à aider les pays de l’Afrique de l’ouest à la prise en charge de la gestion de leur zone côtière.
Le ministre Séka Séka a souligné qu’en Côte d’Ivoire, la zone côtière produit à elle seule 90% des recettes douanières et occupe une place de choix dans l’économie ivoirienne.
«Avec les nombreuses potentialités économiques, socioculturelles, environnementales que la zone côtière renferme, il apparaît impérieux d’y apporter une attention particulière en vue de la rendre résiliente face au changement climatique en général et à l’érosion côtière en particulier», a-t-il indiqué.
Reposant sur trois piliers à savoir, la connaissance, la finance et le dialogue, la plateforme WACA lancé en novembre 2018 à Dakar, gère des projets d’investissement en cours d’exécution dans six pays notamment, le Bénin, la Côte d’Ivoire, la Mauritanie, Sao Tomé et Principe, le Sénégal et le Togo.
Ce marketplace qui prend fin ce mardi est le deuxième dialogue régional avec le secteur privé. Le premier s’est tenu à Abidjan en février sur le thème « Comment impliquer davantage le secteur privé dans la mise en œuvre d’actions visant à préserver le littoral ouest-africain.
(AIP)
bsb/kam