Korhogo– Des producteurs de maraîchers et de légumes ont été formés par le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA) à l’utilisation appropriée des pesticides chimiques, mercredi et jeudi, à Korhogo.
Quarante-cinq producteurs des régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué ont pris part à cette formation qui s’inscrit dans le cadre d’une volonté nationale d’accompagner les producteurs et les consommateurs à accroître leur capacité en sécurité sanitaire des aliments.
Cette volonté se traduit en projet intitulé « Appui à la construction d’un système national de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments (FADCI-SSA) », financé par l’Agence Française de développement (AFD) dans le cadre du 2ème Contrat de désendettement et de développement (C2D).
L’idée est de parvenir à réduire, par la sensibilisation et la formation aux méthodes appropriées, ainsi que par l’appui à l’élaboration d’outils de maitrise sanitaire, les effets secondaires des pesticides sur les applicateurs et sur les denrées alimentaires dans une optique de prévention sanitaire de la population ivoirienne.
Au cours de la formation qui s’est déroulée sous la forme d’un atelier animé par la chargée de programme filières végétales du FIRCA, Marie-Paule Hien, les 45 apprenants ont, non seulement, été formés aux bonnes pratiques en matière de traitement phytosanitaire, mais ils ont aussi été initiés à la connaissance des alternatives aux pesticides.
Mme Hien et son équipe ont animé une formation similaire au bénéfice de producteurs issus des régions du Haut Sassandra, de la Marahoué, du Bélier et de Gbêkê les 6 et 7 novembre, à Bouaké.
La multiplication de ces ateliers régionaux répond à un objectif de formation, de sensibilisation et de mobilisation du plus grand nombre d’acteurs autour l’idée de sécurité alimentaire des aliments.
Outre la filière légumes/maraîchers, le FADCI-SSA, qui a une durée de cinq ans, cible trois autres filières, à savoir, les filières porcine, avicole et maïs dont les acteurs bénéficient également de formations, a-t-on appris sur place.
kaem/fmo
Quarante-cinq producteurs des régions du Poro, du Tchologo et de la Bagoué ont pris part à cette formation qui s’inscrit dans le cadre d’une volonté nationale d’accompagner les producteurs et les consommateurs à accroître leur capacité en sécurité sanitaire des aliments.
Cette volonté se traduit en projet intitulé « Appui à la construction d’un système national de contrôle de la sécurité sanitaire des aliments (FADCI-SSA) », financé par l’Agence Française de développement (AFD) dans le cadre du 2ème Contrat de désendettement et de développement (C2D).
L’idée est de parvenir à réduire, par la sensibilisation et la formation aux méthodes appropriées, ainsi que par l’appui à l’élaboration d’outils de maitrise sanitaire, les effets secondaires des pesticides sur les applicateurs et sur les denrées alimentaires dans une optique de prévention sanitaire de la population ivoirienne.
Au cours de la formation qui s’est déroulée sous la forme d’un atelier animé par la chargée de programme filières végétales du FIRCA, Marie-Paule Hien, les 45 apprenants ont, non seulement, été formés aux bonnes pratiques en matière de traitement phytosanitaire, mais ils ont aussi été initiés à la connaissance des alternatives aux pesticides.
Mme Hien et son équipe ont animé une formation similaire au bénéfice de producteurs issus des régions du Haut Sassandra, de la Marahoué, du Bélier et de Gbêkê les 6 et 7 novembre, à Bouaké.
La multiplication de ces ateliers régionaux répond à un objectif de formation, de sensibilisation et de mobilisation du plus grand nombre d’acteurs autour l’idée de sécurité alimentaire des aliments.
Outre la filière légumes/maraîchers, le FADCI-SSA, qui a une durée de cinq ans, cible trois autres filières, à savoir, les filières porcine, avicole et maïs dont les acteurs bénéficient également de formations, a-t-on appris sur place.
kaem/fmo