Le ministre de l’Hydraulique, Laurent Tchagba a effectué une visite le 22 novembre dernier dans le village de Koffikokorekro, dans la sous-préfecture d’Adaou (département d’Aboisso) pour s’assurer du bon fonctionnement des premières pompes hybrides solaires avant toute prise de décision de vulgarisation du projet sur le territoire national.
« Le projet permettra la mise à disposition d’eau potable en tout temps, la réduction de la corvée et de la pénibilité de l’accès à l’eau potable pour les jeunes filles qui pourront aller sereinement à l’école ou vaquer à d’autres occupations », a précisé M. Tchagba après la visite d’une unité de ce projet.
Cette nouvelle technologie réalisée par l’entreprise française Vergnet Hydro par l’entremise de sa filiale Saher, réside dans l’association d’une pompe à motricité humaine traditionnelle couplée d’une pompe solaire et d’un réservoir. Elle est à sa phase expérimentale.
Selon le ministre, dans le souci de réduire la pénibilité du pompage de l’eau et garantir la continuité du service de ce liquide précieux, son département a plusieurs projets en étude en milieu rural.
«Nous avons décidé d’utiliser les technologies nouvelles dans le secteur. Nous allons tester ce que cet opérateur nous propose. Si ça marche, nous allons valider l’offre et travailler avec eux. Cela va nous permettre de régler le problème de la maintenance des pompes », a relevé le ministre.
Présentant le projet, son promoteur Thierry Barrotte, a précisé que la pompe solaire au niveau des sites convertis permettra de remplir automatiquement un réservoir d’eau au fil du soleil.
Ce réservoir alimentera à partir du plan d’eau deux robinets selon les standards ivoiriens. A côté de la pompe solaire, l’installation d’une pompe manuelle neuve permettra d’éviter une interruption de l’alimentation en eau pendant la nuit, en cas d’ensoleillement faible, ou lors d’opérations de maintenance ou de panne de la pompe solaire.
Depuis la réalisation de ce projet, les populations de Koffikokorekro ont désormais l’eau potable en abondance, selon son chef de village Kouadio Ignace.
« Elle est fiable et rapide. Nos femmes ne font plus d’effort», a relevé le chef.
Cyprien K.
« Le projet permettra la mise à disposition d’eau potable en tout temps, la réduction de la corvée et de la pénibilité de l’accès à l’eau potable pour les jeunes filles qui pourront aller sereinement à l’école ou vaquer à d’autres occupations », a précisé M. Tchagba après la visite d’une unité de ce projet.
Cette nouvelle technologie réalisée par l’entreprise française Vergnet Hydro par l’entremise de sa filiale Saher, réside dans l’association d’une pompe à motricité humaine traditionnelle couplée d’une pompe solaire et d’un réservoir. Elle est à sa phase expérimentale.
Selon le ministre, dans le souci de réduire la pénibilité du pompage de l’eau et garantir la continuité du service de ce liquide précieux, son département a plusieurs projets en étude en milieu rural.
«Nous avons décidé d’utiliser les technologies nouvelles dans le secteur. Nous allons tester ce que cet opérateur nous propose. Si ça marche, nous allons valider l’offre et travailler avec eux. Cela va nous permettre de régler le problème de la maintenance des pompes », a relevé le ministre.
Présentant le projet, son promoteur Thierry Barrotte, a précisé que la pompe solaire au niveau des sites convertis permettra de remplir automatiquement un réservoir d’eau au fil du soleil.
Ce réservoir alimentera à partir du plan d’eau deux robinets selon les standards ivoiriens. A côté de la pompe solaire, l’installation d’une pompe manuelle neuve permettra d’éviter une interruption de l’alimentation en eau pendant la nuit, en cas d’ensoleillement faible, ou lors d’opérations de maintenance ou de panne de la pompe solaire.
Depuis la réalisation de ce projet, les populations de Koffikokorekro ont désormais l’eau potable en abondance, selon son chef de village Kouadio Ignace.
« Elle est fiable et rapide. Nos femmes ne font plus d’effort», a relevé le chef.
Cyprien K.