En marge du Salon international de l’agriculture et des ressources animales (Sara) 2019, qui s’est ouvert le vendredi 22 novembre dernier, Henri Danon, coordonnateur du Projet de solutions numériques pour le désenclavement des zones rurales et l’e-Agriculture (PSNDEA) a présenté cette solution numérique pour le monde rural.
Le Projet de Solutions Numériques pour le Désenclavement des zones rurales et l’e-Agriculture (PSNDEA), est un nouveau projet sous la tutelle du ministère de l’économie numérique et de la poste en partenariat avec les ministères en charge de l’Agriculture et en particulier comme chef de file.
Il s’agit d’un projet né de la volonté du gouvernement ivoirien d’associer le secteur numérique au secteur agricole qui bénéficie du financement de la Banque mondiale en vigueur depuis le 14 novembre 2018.
A en croire, M. Danon c’est un projet de technologie appliqué au monde agricole ou au bénéfice du monde agricole. « Il s’agit pour ce projet de veiller à ce que les agriculteurs profitent des avancées des technologies numériques. Pour le faire nous avons deux grandes composantes qui nous permettent de réaliser ce projet. En premier lieu, les zones concernées par le projet doivent être couvertes en service Tic. Le projet a une localisation géographique de dix régions administratives, reparties dans deux zones. Il y a la zone nord qui couvre six régions et la zone centre-ouest qui couvre quatre régions. Au nord nous avons le Bounkani, le Tchologo, le Poro, la Bagoué, le Folon et le Kabadougou. Au centre-ouest nous avons la Marahoué, le Haut-Sassandra, le Gôh et le Lôh Djiboua », explique le coordonnateur. Avant d’indiquer que le projet va d’abord doter ces régions d’infrastructures de communications. « Les premières études nous ont permis de faire l’état des lieux. Il ressort que 333 localités ne sont pas couvertes. Elles n’ont aucun signal, ni de réseaux téléphoniques. Nous allons donc couvrir ces 333 localités en signal numérique. A côté de ces 333 localités appelées zones blanches, qui ne sont pas du tout couvertes, nous avons 888 localités qui sont dotées de signal 2G. Cependant la 2G ne nous permet pas de faire les services en ligne qu’on veut rendre aux agriculteurs. Ces 888 localités vont donc migrer en 3G ou 4G », a précisé Henri Danon.
P. R. (Info S. Tapé)
Le Projet de Solutions Numériques pour le Désenclavement des zones rurales et l’e-Agriculture (PSNDEA), est un nouveau projet sous la tutelle du ministère de l’économie numérique et de la poste en partenariat avec les ministères en charge de l’Agriculture et en particulier comme chef de file.
Il s’agit d’un projet né de la volonté du gouvernement ivoirien d’associer le secteur numérique au secteur agricole qui bénéficie du financement de la Banque mondiale en vigueur depuis le 14 novembre 2018.
A en croire, M. Danon c’est un projet de technologie appliqué au monde agricole ou au bénéfice du monde agricole. « Il s’agit pour ce projet de veiller à ce que les agriculteurs profitent des avancées des technologies numériques. Pour le faire nous avons deux grandes composantes qui nous permettent de réaliser ce projet. En premier lieu, les zones concernées par le projet doivent être couvertes en service Tic. Le projet a une localisation géographique de dix régions administratives, reparties dans deux zones. Il y a la zone nord qui couvre six régions et la zone centre-ouest qui couvre quatre régions. Au nord nous avons le Bounkani, le Tchologo, le Poro, la Bagoué, le Folon et le Kabadougou. Au centre-ouest nous avons la Marahoué, le Haut-Sassandra, le Gôh et le Lôh Djiboua », explique le coordonnateur. Avant d’indiquer que le projet va d’abord doter ces régions d’infrastructures de communications. « Les premières études nous ont permis de faire l’état des lieux. Il ressort que 333 localités ne sont pas couvertes. Elles n’ont aucun signal, ni de réseaux téléphoniques. Nous allons donc couvrir ces 333 localités en signal numérique. A côté de ces 333 localités appelées zones blanches, qui ne sont pas du tout couvertes, nous avons 888 localités qui sont dotées de signal 2G. Cependant la 2G ne nous permet pas de faire les services en ligne qu’on veut rendre aux agriculteurs. Ces 888 localités vont donc migrer en 3G ou 4G », a précisé Henri Danon.
P. R. (Info S. Tapé)