A la clôture du 5è Salon de l’Agriculture et des Ressources Animales (SARA), le dimanche 1er décembre 2019 à Abidjan, le Premier Ministre Amadou Gon Coulibaly, a déclaré qu’il est possible de relever le défi de la sécurité alimentaire en Afrique, grâce aux innovations technologiques.
« Le message d’espoir que nous devons retenir de ce salon est qu’il est possible de relever le défi de la sécurité alimentaire en Afrique. Les innovations technologiques, à cet égard, sont de puissants outils que nous devons mettre à profit pour atteindre ce résultat. Toutes les innovations faites par nos jeunes qui ont été récompensés, nous donnent le chemin », a dit Amadou Gon Coulibaly.
Pour lui, il est possible à l’agriculture africaine de s’adapter au changement climatique, tout en ne nuisant pas à l’environnement.
Parlant de la Côte d’Ivoire dont le succès repose sur l’agriculture, le Chef du gouvernement a affirmé que l’agriculture sera davantage ce pilier économique « si nous réussissons le pari d’une agriculture durable et du maintien de la Côte d’Ivoire au rang de meilleure puissance agricole de la sous-région ouest-africaine ».
Mais, a-t-il insisté, cette agriculture devra sortir des sentiers battus pour s’engager résolument dans la voie de la modernisation, à travers la mécanisation, la maîtrise des ressources en eau et l’utilisation rationnelle des intrants à haut rendement, en ligne avec les objectifs du développement durable.
« Le message d’espoir que nous devons retenir de ce salon est qu’il est possible de relever le défi de la sécurité alimentaire en Afrique. Les innovations technologiques, à cet égard, sont de puissants outils que nous devons mettre à profit pour atteindre ce résultat. Toutes les innovations faites par nos jeunes qui ont été récompensés, nous donnent le chemin », a dit Amadou Gon Coulibaly.
Pour lui, il est possible à l’agriculture africaine de s’adapter au changement climatique, tout en ne nuisant pas à l’environnement.
Parlant de la Côte d’Ivoire dont le succès repose sur l’agriculture, le Chef du gouvernement a affirmé que l’agriculture sera davantage ce pilier économique « si nous réussissons le pari d’une agriculture durable et du maintien de la Côte d’Ivoire au rang de meilleure puissance agricole de la sous-région ouest-africaine ».
Mais, a-t-il insisté, cette agriculture devra sortir des sentiers battus pour s’engager résolument dans la voie de la modernisation, à travers la mécanisation, la maîtrise des ressources en eau et l’utilisation rationnelle des intrants à haut rendement, en ligne avec les objectifs du développement durable.