Les populations de Satama Sokoro, Satama Sokoura et de Bassawa (département de Dabakala) vont bénéficier, dans 36 mois, d’une route bitumée de 84 kilomètres. Le Président de la République Alassane Ouattara a procédé, le 29 novembre 2019, au lancement des travaux du bitumage de cette voie, dans le cadre de la visite d’État qu’il effectue dans la Région du Hambol du 27 au 30 novembre 2019.
Le gouvernement ivoirien a identifié un ensemble de routes prioritaires dont l’aménagement devrait renforcer les infrastructures du pays et participer à son essor économique et social. La réalisation des travaux de l’axe Bouaké-Satama Sokoura- Bassawa contribuera au développement des infrastructures routières et à la lutte contre la pauvreté en zone rurale. Elle permettra aussi le désenclavement des sous-préfectures de Satama-Sokoro, Satama-Sokoura, Bassawa et du département de Sandégué.
Le projet, d’un coût de 72, 8 milliards de FCFA, vise à renforcer le développement économique du pays par l’amélioration et la densification du réseau routier revêtu. Et in fine, à faciliter la mobilité des biens et des personnes dans la zone. De plus, il contribuera à réduire les coûts de transport, et à améliorer les conditions de vie des populations locales. Notamment par la facilitation de l’accès aux services sociaux de base (santé, l’éducation, etc.) et la commercialisation de leurs productions.
Le gouvernement ivoirien a identifié un ensemble de routes prioritaires dont l’aménagement devrait renforcer les infrastructures du pays et participer à son essor économique et social. La réalisation des travaux de l’axe Bouaké-Satama Sokoura- Bassawa contribuera au développement des infrastructures routières et à la lutte contre la pauvreté en zone rurale. Elle permettra aussi le désenclavement des sous-préfectures de Satama-Sokoro, Satama-Sokoura, Bassawa et du département de Sandégué.
Le projet, d’un coût de 72, 8 milliards de FCFA, vise à renforcer le développement économique du pays par l’amélioration et la densification du réseau routier revêtu. Et in fine, à faciliter la mobilité des biens et des personnes dans la zone. De plus, il contribuera à réduire les coûts de transport, et à améliorer les conditions de vie des populations locales. Notamment par la facilitation de l’accès aux services sociaux de base (santé, l’éducation, etc.) et la commercialisation de leurs productions.