Que faut-il dire ? Que faut-il écrire devant la mort d’un être cher comme Charles Koffi Diby ? Comment témoigner sur cette grande figure de la politique ivoirienne, qui était certes un homme public, un homme de communication, mais avait su se protéger et rester discret, là où certains jouent de leur importance dans l’appareil d’État ?
Charles Koffi Diby n’était pas un homme de postures vaines, d’attitudes superficielles. Il était lui-même, simple, fidèle en amitié, en empathie avec les autres.
Chacun lui reconnaissait ce sens du dialogue qui lui a permis d’être un brillant ministre.
Sa dernière fonction, Président du CESEC , l’assemblée du « premier mot » et incarnation même d’un dialogue fécond entre tous les acteurs de la société, est le... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan
Charles Koffi Diby n’était pas un homme de postures vaines, d’attitudes superficielles. Il était lui-même, simple, fidèle en amitié, en empathie avec les autres.
Chacun lui reconnaissait ce sens du dialogue qui lui a permis d’être un brillant ministre.
Sa dernière fonction, Président du CESEC , l’assemblée du « premier mot » et incarnation même d’un dialogue fécond entre tous les acteurs de la société, est le... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan