Produit de grande consommation en Côte d’Ivoire, le manioc contribue à la lutte contre l’insécurité alimentaire et la pauvreté, notamment grâce à la mise au point de nouvelles variétés plus productives, dénommées “Bocou”.
Fruits de la recherche du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA), ces nouvelles variétés produisent 35 à 40 tonnes à l’hectare, contre 8 tonnes pour le manioc traditionnel. Selon Viviane Assoi, présidente de la Coopérative de vivriers de Bouaké, les nouvelles variétés permettent d’avoir des produits dérivés de qualité, à savoir l’attiéké, le gari, le placali, le tapioca, l’amidon, etc. Sa coopérative produit environ 10 tonnes d’attiéké destinées aux marchés ivoirien et international. « La culture et la commercialisation du manioc Bocou améliorent nos conditions de vie » témoigne-t-elle.
Fruits de la recherche du Centre National de Recherche Agronomique (CNRA), ces nouvelles variétés produisent 35 à 40 tonnes à l’hectare, contre 8 tonnes pour le manioc traditionnel. Selon Viviane Assoi, présidente de la Coopérative de vivriers de Bouaké, les nouvelles variétés permettent d’avoir des produits dérivés de qualité, à savoir l’attiéké, le gari, le placali, le tapioca, l’amidon, etc. Sa coopérative produit environ 10 tonnes d’attiéké destinées aux marchés ivoirien et international. « La culture et la commercialisation du manioc Bocou améliorent nos conditions de vie » témoigne-t-elle.