Abidjan- Au cours d’une rencontre consultative de la Conférence ministérielle africaine sur l’Environnement (CMAE), en prélude à la réunion de la COP 25 prévue le 02 au 13 décembre 2019 à Madrid (Espagne), les ministres africains ont appelé les pays occidentaux à prélever 5% sur les crédits-carbone au lieu de 2%.
« Il faut noter que les différents articles du traité ont été validés, sauf celui de l’article 6, objet de désaccord. Cet article de l’accord de Paris traite du marché carbone des émissions de Gaz à effet de Serre. Les Etats proposent un prélèvement de 5% au lieu de 2% dans ce marché d’émissions, afin d’approvisionner le fonds d’adaptation et d’éviter le double comptage pour garantir l’intégrité environnementale », rapporte une note de presse du ministère en charge de l’Environnement.
Pour la présidente de la CMAE, Barbara Greecy, « la position du groupe africain demeure que le prélèvement sur les crédits carbone soit effectué et qu’il fasse l’objet d’un partage équitable ».
Cette rencontre a eu pour objectif principal de permettre au groupe de négociateurs pour l’Afrique (AGN) sur le changement climatique d’informer les ministres de l’état d’avancement des négociations.
Les négociateurs ont abordé d’autres points portant sur les questions de transparence dans l’accord de Paris pour éviter le double comptage, le financement des projets et le fonds vert pour le climat.
« Il faut noter que les différents articles du traité ont été validés, sauf celui de l’article 6, objet de désaccord. Cet article de l’accord de Paris traite du marché carbone des émissions de Gaz à effet de Serre. Les Etats proposent un prélèvement de 5% au lieu de 2% dans ce marché d’émissions, afin d’approvisionner le fonds d’adaptation et d’éviter le double comptage pour garantir l’intégrité environnementale », rapporte une note de presse du ministère en charge de l’Environnement.
Pour la présidente de la CMAE, Barbara Greecy, « la position du groupe africain demeure que le prélèvement sur les crédits carbone soit effectué et qu’il fasse l’objet d’un partage équitable ».
Cette rencontre a eu pour objectif principal de permettre au groupe de négociateurs pour l’Afrique (AGN) sur le changement climatique d’informer les ministres de l’état d’avancement des négociations.
Les négociateurs ont abordé d’autres points portant sur les questions de transparence dans l’accord de Paris pour éviter le double comptage, le financement des projets et le fonds vert pour le climat.