Abidjan- Le Garde des sceaux, ministre de la Justice et des Droits de l’Homme, Sansan Kambilé a eu lundi, à Abidjan, une rencontre d’information et d’échanges avec des membres des Organisations de la société civile (OSC), sur les récentes lois sur la famille adoptées en Côte d'Ivoire.
« L’objectif constant du ministère de la justice est de vulgariser le droit et lutter contre l’ignorance et la désinformation. Beaucoup de choses se disent et il est mieux pour le ministre que je suis, de venir vers les organisations de la société civile qui participent à l’éducation de nos masses. C’est extrêmement important afin que la vérité soit dite sur les textes », a souligné M. Sansan, se félicitant « d'échanges francs » avec les membres de la société civile.
Cette rencontre des OSC avec le Garde des sceaux est une initiative du Groupe des organisations féminines pour l’égalité Homme-Femme (GOFEHF). Sa présidente, Rachel Gogoua, a exprimé sa gratitude à l’émissaire du gouvernement, qui par sa présence, ouvre ainsi la porte à la "bonne gouvernance" par l’instauration d’un "dialogue direct avec le peuple, détenteur du pouvoir" qu’il délègue aux gouvernants.
« Dans le principe de la bonne gouvernance, il y a la question de la redevabilité, la question de rendre compte et la question de la participation. Donc il était important que nous puissions inviter le ministre qui, en 2018 et 2019, a eu une activité législative importante. Les différentes lois qui ont été votées sont des lois qui sont en rapport nos vies de tous les jours. Il y a eu beaucoup d’interprétations sur ces lois. Et pour nous conforter dans notre conviction, il fallait que le ministre vienne pour échanger avec la population afin qu’elle comprenne le bien-fondé de ces lois dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire », s’est réjouie Mme Gogoua.
Les échanges ont porté sur les lois et projets de loi relatifs à l’état civil, à la procédure spéciale de déclaration de naissance, de rétablissement d’identité et de transcription d’acte de naissance, au mariage, à la filiation, à la minorité, aux successions, au code pénal et le droit d’adjonction du nom patronymique de la mère au nom de l’enfant.
fmo
« L’objectif constant du ministère de la justice est de vulgariser le droit et lutter contre l’ignorance et la désinformation. Beaucoup de choses se disent et il est mieux pour le ministre que je suis, de venir vers les organisations de la société civile qui participent à l’éducation de nos masses. C’est extrêmement important afin que la vérité soit dite sur les textes », a souligné M. Sansan, se félicitant « d'échanges francs » avec les membres de la société civile.
Cette rencontre des OSC avec le Garde des sceaux est une initiative du Groupe des organisations féminines pour l’égalité Homme-Femme (GOFEHF). Sa présidente, Rachel Gogoua, a exprimé sa gratitude à l’émissaire du gouvernement, qui par sa présence, ouvre ainsi la porte à la "bonne gouvernance" par l’instauration d’un "dialogue direct avec le peuple, détenteur du pouvoir" qu’il délègue aux gouvernants.
« Dans le principe de la bonne gouvernance, il y a la question de la redevabilité, la question de rendre compte et la question de la participation. Donc il était important que nous puissions inviter le ministre qui, en 2018 et 2019, a eu une activité législative importante. Les différentes lois qui ont été votées sont des lois qui sont en rapport nos vies de tous les jours. Il y a eu beaucoup d’interprétations sur ces lois. Et pour nous conforter dans notre conviction, il fallait que le ministre vienne pour échanger avec la population afin qu’elle comprenne le bien-fondé de ces lois dans l’intérêt de la Côte d’Ivoire », s’est réjouie Mme Gogoua.
Les échanges ont porté sur les lois et projets de loi relatifs à l’état civil, à la procédure spéciale de déclaration de naissance, de rétablissement d’identité et de transcription d’acte de naissance, au mariage, à la filiation, à la minorité, aux successions, au code pénal et le droit d’adjonction du nom patronymique de la mère au nom de l’enfant.
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