Une mission de la Sodefor menée pendant trois (3) jours (du 15 au 17 décembre derniers) dans la forêt classée de Badenou, à Korhogo, a permis l'arrestation de onze (11) orpailleurs clandestins. Ils ont été mis en garde en vue à la Gendarmerie et au poste de police de Korhogo.
C'est sur une dénonciation anonyme faisant état de cette activité illegale dans la forêt classée de Badenou, dans le centre de gestion de Korhogo, que la Direction générale de la Sodefor y a dépêché des éléments du contrôle forestier.
Il s'agit des Sergents Ouattara Tiakroi, N'Goran Kouakou Gilbert et Zana Souleymane Coulibaly, du service contrôle forestier de la Sodefor.
En plus de ces onze (11) hors la loi, l'équipe de contrôle a mis la main sur deux (02) motos et du matériel détruit.
A Agboville, un autre individu qui s'adonne à l'écorçage d'essences forestières protégées, a été pris sur les faits, grâce à une autre mission de contrôle, dans la forêt classée de Yapo-Abbé, le vendredi 13 décembre 2019.
L'infortuné qui a été déféré devant le Tribunal d'Agboville, le lundi 16 décembre dernier, avait déjà rempli cinq (5) sacs d'écorces. '' C'est la troisième fois que je fais ce travail à l'intérieur de la forêt classée de Yapo-Abbé '', a-t-il reconnu lors de son interrogatoire.
L'écorçage d'essences forestières protégées est prévu et puni par l'article 134-e du code forestier de 2014.
FKD
C'est sur une dénonciation anonyme faisant état de cette activité illegale dans la forêt classée de Badenou, dans le centre de gestion de Korhogo, que la Direction générale de la Sodefor y a dépêché des éléments du contrôle forestier.
Il s'agit des Sergents Ouattara Tiakroi, N'Goran Kouakou Gilbert et Zana Souleymane Coulibaly, du service contrôle forestier de la Sodefor.
En plus de ces onze (11) hors la loi, l'équipe de contrôle a mis la main sur deux (02) motos et du matériel détruit.
A Agboville, un autre individu qui s'adonne à l'écorçage d'essences forestières protégées, a été pris sur les faits, grâce à une autre mission de contrôle, dans la forêt classée de Yapo-Abbé, le vendredi 13 décembre 2019.
L'infortuné qui a été déféré devant le Tribunal d'Agboville, le lundi 16 décembre dernier, avait déjà rempli cinq (5) sacs d'écorces. '' C'est la troisième fois que je fais ce travail à l'intérieur de la forêt classée de Yapo-Abbé '', a-t-il reconnu lors de son interrogatoire.
L'écorçage d'essences forestières protégées est prévu et puni par l'article 134-e du code forestier de 2014.
FKD