Abidjan - Le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie, Maurice Kouakou Bandaman, a indiqué que 60 icônes vivantes du monde des Arts et de la Culture sont actuellement bénéficiaires de la pension présidentielle de 300 000 FCFA par mois.
Il était l’invité de la tribune d’échanges " Les rendez-vous du gouvernement " du Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG), le 19 décembre 2019 à Abidjan.
« Commencée avec 15 icônes en 2014, la pension présidentielle de 300 000 FCFA s’étend aujourd’hui à 60 artistes vivants », a dit Maurice Kouakou Bandaman.
Le ministre a expliqué qu’il a soumis au Président de la République et au gouvernement le projet de la pension présidentielle mensuelle de 300 000 FCFA suite à la longue crise qui a secoué le pays de 2000 à 2010 et qui a eu des répercussions dramatiques sur la vie des créateurs et des artistes. Cette crise a accentué la précarité des artistes par la destruction des outils de production et de diffusion, l’apparition du phénomène du piratage et la consommation numérique des œuvres d’art. De nombreux artistes étaient alors tombés dans l’indigence et pour faire face aux besoins du quotidien, ils étaient souvent obligés de faire appel à la générosité du publique.
La pension de retraite payée par le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA) aux plus nantis était de 150 000 FCFA par trimestre soit 50 000 FCFA par mois.
Il était l’invité de la tribune d’échanges " Les rendez-vous du gouvernement " du Centre d’Information et de Communication Gouvernementale (CICG), le 19 décembre 2019 à Abidjan.
« Commencée avec 15 icônes en 2014, la pension présidentielle de 300 000 FCFA s’étend aujourd’hui à 60 artistes vivants », a dit Maurice Kouakou Bandaman.
Le ministre a expliqué qu’il a soumis au Président de la République et au gouvernement le projet de la pension présidentielle mensuelle de 300 000 FCFA suite à la longue crise qui a secoué le pays de 2000 à 2010 et qui a eu des répercussions dramatiques sur la vie des créateurs et des artistes. Cette crise a accentué la précarité des artistes par la destruction des outils de production et de diffusion, l’apparition du phénomène du piratage et la consommation numérique des œuvres d’art. De nombreux artistes étaient alors tombés dans l’indigence et pour faire face aux besoins du quotidien, ils étaient souvent obligés de faire appel à la générosité du publique.
La pension de retraite payée par le Bureau Ivoirien du Droit d’Auteur (BURIDA) aux plus nantis était de 150 000 FCFA par trimestre soit 50 000 FCFA par mois.