La cérémonie de clôture du projet « promotion de l'intégration des changements climatiques, entre autres en renforçant la contribution de la biodiversité et les services écosystémiques dans la planification et la budgétisation des politiques agricoles et forestières nationales, sectorielles et locales en Côte d'Ivoire (PICC), » s’est tenue ce vendredi 19 décembre à Abidjan.
Lancé officiellement le 14 décembre 2017, deux (2) ans après sa mise en œuvre, les acteurs de son exécution devaient donc se réunir pour le bilan de ce projet qui est l'un des premiers que la Côte d'Ivoire a formulé au lendemain de l'entrée en vigueur de l'accord de Paris sur le climat le 4 novembre 2016, constituant ainsi un cadre structurant de la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national.
Initié par la Direction de la lutte contre les changements climatiques, ce projet qui a reçu le financement du gouvernement fédéral de Belge ce projet a permis des avancées notables dans la lutte contre le changement climatique.
Dans son allocution de clôture, le ministre de l'environnement et du développement durable, le professeur Joseph Séka Séka, s'est félicité des résultats obtenus notamment l'élaboration du rapport de diagnostic du niveau d'intégration des changements climatiques dans les projets politiques au plan national, l'élaboration d'un autre outil méthodologique pour une meilleure intégration du changement climatique dans la planification et la budgétisation des politiques agricoles et forestières, la conception et la mise en œuvre d'un programme de renforcement des capacités des acteurs de l'administration public et des collectivités territoriales avec appui technique et le renforcement de la transparence dans l'action climatique.
Il a également exprimé ses encouragements aux parties prenantes pour ces succès au moment où la Côte d'Ivoire est confrontée à des situations climatiques majeures.
Mais grâce à ce projet qui permet désormais d'intégrer au plus haut degré les dimensions du changement climatique, de la biodiversité et des services écosystémiques dans la planification du développement locale, tout ira bon train » a-t-il rassuré.
Rappelons que l'accord de Paris sur le climat dont découle ce projet, vise à renforcer la riposte mondiale contre la menace des changements climatiques dans le cadre des objectifs du développement durable et la lutte contre la pauvreté en contenant le niveau de température de la planète nettement en dessous de 2 degrés Celsius tout en poursuivant des efforts pour limiter l'élévation de la température à 1,5 degré Celsius d'ici 2100.
PR
Lancé officiellement le 14 décembre 2017, deux (2) ans après sa mise en œuvre, les acteurs de son exécution devaient donc se réunir pour le bilan de ce projet qui est l'un des premiers que la Côte d'Ivoire a formulé au lendemain de l'entrée en vigueur de l'accord de Paris sur le climat le 4 novembre 2016, constituant ainsi un cadre structurant de la mise en œuvre des contributions déterminées au niveau national.
Initié par la Direction de la lutte contre les changements climatiques, ce projet qui a reçu le financement du gouvernement fédéral de Belge ce projet a permis des avancées notables dans la lutte contre le changement climatique.
Dans son allocution de clôture, le ministre de l'environnement et du développement durable, le professeur Joseph Séka Séka, s'est félicité des résultats obtenus notamment l'élaboration du rapport de diagnostic du niveau d'intégration des changements climatiques dans les projets politiques au plan national, l'élaboration d'un autre outil méthodologique pour une meilleure intégration du changement climatique dans la planification et la budgétisation des politiques agricoles et forestières, la conception et la mise en œuvre d'un programme de renforcement des capacités des acteurs de l'administration public et des collectivités territoriales avec appui technique et le renforcement de la transparence dans l'action climatique.
Il a également exprimé ses encouragements aux parties prenantes pour ces succès au moment où la Côte d'Ivoire est confrontée à des situations climatiques majeures.
Mais grâce à ce projet qui permet désormais d'intégrer au plus haut degré les dimensions du changement climatique, de la biodiversité et des services écosystémiques dans la planification du développement locale, tout ira bon train » a-t-il rassuré.
Rappelons que l'accord de Paris sur le climat dont découle ce projet, vise à renforcer la riposte mondiale contre la menace des changements climatiques dans le cadre des objectifs du développement durable et la lutte contre la pauvreté en contenant le niveau de température de la planète nettement en dessous de 2 degrés Celsius tout en poursuivant des efforts pour limiter l'élévation de la température à 1,5 degré Celsius d'ici 2100.
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