Depuis la Place du carnaval, Tiken a appelé la jeunesse de Bouaké et de la Côte d’Ivoire à l’union, la fraternité et surtout au travail.
"Merci Bouaké. Je suis content d’être là aujourd’hui, 12 ans après. On ne s’était pas vu depuis 2007. Bouaké est le témoin direct de la crise que nous avons connue. Il est temps que les Ivoiriens soient unis. Il est temps que nous ne retombions pas dans la situation de 2002 et 2010. Aujourd’hui, l’Ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre. Nous devons tout faire pour réserver à nos enfants et petits-enfants un pays stable. Nous ne voulons plus de 3 000 morts en Côte d’Ivoire. Nous ne voulons plus de guerre dans notre pays. Nous ne voulons plus de bruit d’armes chez nous. Plus jamais ça... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan
"Merci Bouaké. Je suis content d’être là aujourd’hui, 12 ans après. On ne s’était pas vu depuis 2007. Bouaké est le témoin direct de la crise que nous avons connue. Il est temps que les Ivoiriens soient unis. Il est temps que nous ne retombions pas dans la situation de 2002 et 2010. Aujourd’hui, l’Ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre. Nous devons tout faire pour réserver à nos enfants et petits-enfants un pays stable. Nous ne voulons plus de 3 000 morts en Côte d’Ivoire. Nous ne voulons plus de guerre dans notre pays. Nous ne voulons plus de bruit d’armes chez nous. Plus jamais ça... suite de l'article sur L’intelligent d’Abidjan