APA - Le célèbre reggaeman ivoirien Tiken Jah Fakoly a estimé dans la nuit de vendredi à samedi qu’aujourd’hui, l’ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre, appelant dans la foulée les ivoiriens à l’unité afin que le pays ne retombe plus dans la crise militaro-politique.
Nous pensons qu’il est temps aujourd’hui que les ivoiriens soient unis. Il est temps qu’on ne retombe pas dans la même situation. Je crois qu’aujourd’hui l’ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre.», a souligné Tiken Jah lors d’un concert gratuit à la place du carnaval de Bouaké, la deuxième ville ivoirienne dans le Centre-nord du pays.
« Nous devons tenir ce pays. Nous devons tout faire pour réserver un pays en paix et un pays stable à nos enfants et à nos petits enfants », a poursuivi l’artiste, selon lui, quel que soit ce qui se passe, les ivoiriens doivent rester ensemble.
«Je suis content d’offrir ce concert gratuit à Bouaké parce que depuis 2007 on ne s’était pas encore revu. Nous devons avancer dans l’unité. Quand il n’y a pas de stabilité, tu ne peux même pas sortir pour aller chercher du travail. C’est pourquoi, ivoirien du Sud, du Nord, de l’Est, de l’Ouest, nous devons tout faire pour tenir ce pays. Il n’est plus question de retomber dans les mêmes choses», a-t-il insisté.
De l’avis de Tiken Jah, la « meilleure manière » de rendre hommage aux 3000 morts de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011, « c’est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire ne retombe pas encore» en crise.
Avant ce giga concert à Bouaké où il a égayé des milliers de mélomanes, Tiken Jah a fait le show le 1er janvier dernier avec ses fans d’Abobo, une commune populaire au Nord d’Abidjan.
LB/ls/APA
Nous pensons qu’il est temps aujourd’hui que les ivoiriens soient unis. Il est temps qu’on ne retombe pas dans la même situation. Je crois qu’aujourd’hui l’ivoirien connaît la différence entre la stabilité et la guerre.», a souligné Tiken Jah lors d’un concert gratuit à la place du carnaval de Bouaké, la deuxième ville ivoirienne dans le Centre-nord du pays.
« Nous devons tenir ce pays. Nous devons tout faire pour réserver un pays en paix et un pays stable à nos enfants et à nos petits enfants », a poursuivi l’artiste, selon lui, quel que soit ce qui se passe, les ivoiriens doivent rester ensemble.
«Je suis content d’offrir ce concert gratuit à Bouaké parce que depuis 2007 on ne s’était pas encore revu. Nous devons avancer dans l’unité. Quand il n’y a pas de stabilité, tu ne peux même pas sortir pour aller chercher du travail. C’est pourquoi, ivoirien du Sud, du Nord, de l’Est, de l’Ouest, nous devons tout faire pour tenir ce pays. Il n’est plus question de retomber dans les mêmes choses», a-t-il insisté.
De l’avis de Tiken Jah, la « meilleure manière » de rendre hommage aux 3000 morts de la crise postélectorale ivoirienne de 2010-2011, « c’est de faire en sorte que la Côte d’Ivoire ne retombe pas encore» en crise.
Avant ce giga concert à Bouaké où il a égayé des milliers de mélomanes, Tiken Jah a fait le show le 1er janvier dernier avec ses fans d’Abobo, une commune populaire au Nord d’Abidjan.
LB/ls/APA