Une cérémonie d’intronisation de l’Imam Ayoub Sy Savané s’est déroulée le vendredi 10 janvier dernier à Duékoué, en présence d’une délégation du Cosim (Conseil supérieur des Imams) conduite par le Cheick Boikari Fofana.
Le message du Cheick Boikari Fofana était attendu : conseils d’usage, bénédictions sur fond de paix, de pardon et de cohésion sociale ont été la substance de son message plein de spiritualité.
L’intronisation de l’Imam Ayoub Sy Savané a débuté par la remise de la canne et du Saint Coran qui sont ses attributs de guide spirituel avant la lecture, par l’Imam Boikari Fofana, de l’acte de proclamation de l’investiture de l’imam Ayoub Sy Savané.
Un certificat lui a été remis par le président du Cosim à la fin de la cérémonie sous le regard de la marraine Maman Boya Gielene (entrepreneure dans la région) qui a fait d’importants dons. Cette dernière lors de son adresse a estimé que la religion est primordiale pour les populations ; car les guides religieux apportent une contribution « spéciale à la vie spirituelle, sociale et morale de notre pays, de notre ville ».
« Les populations doivent savoir ce que les religions ont à dire sur les grands sujets, qui peuvent être aussi des sujets économiques, sociaux et internationaux », a-t-elle indiqué.
R. K.
Le message du Cheick Boikari Fofana était attendu : conseils d’usage, bénédictions sur fond de paix, de pardon et de cohésion sociale ont été la substance de son message plein de spiritualité.
L’intronisation de l’Imam Ayoub Sy Savané a débuté par la remise de la canne et du Saint Coran qui sont ses attributs de guide spirituel avant la lecture, par l’Imam Boikari Fofana, de l’acte de proclamation de l’investiture de l’imam Ayoub Sy Savané.
Un certificat lui a été remis par le président du Cosim à la fin de la cérémonie sous le regard de la marraine Maman Boya Gielene (entrepreneure dans la région) qui a fait d’importants dons. Cette dernière lors de son adresse a estimé que la religion est primordiale pour les populations ; car les guides religieux apportent une contribution « spéciale à la vie spirituelle, sociale et morale de notre pays, de notre ville ».
« Les populations doivent savoir ce que les religions ont à dire sur les grands sujets, qui peuvent être aussi des sujets économiques, sociaux et internationaux », a-t-elle indiqué.
R. K.