Le mercredi 26 février 2020 à Abidjan, a eu lieu un point de presse animé par le collectif des disciples du prophète KACOU Philippe,. L’objet de cette rencontre était, dit-il, de dénoncer l’arrestation, en République Démocratique du Congo précisément à Kipushi, du pasteur David N’Kanka de l’église du cri de minuit en RDC et disciple du prophète kacou Philippe. Nous vous proposons l’intégralité de leur déclaration.
Nous avons appris avec consternation, la nouvelle de l’arrestation de notre frère dans la foi, le pasteur N’kanka David, cette semaine à Kipushi en république démocratique du Congo. Sur les motifs de cette arrestation, des informations concordantes recueillies sur place, il ressort que notre frère est victime d’une persécution religieuse ; chose que nous ne saurions laisser sous silence en ce 21ème siècle, dans un pays dont la loi fondamentale consacre la liberté de croyance religieuse et de pratique de culte.
Nous ne saurions, non plus, accepter cette situation dans la mesure où ces pratiques sont récurrentes à l’endroit des disciples du prophète Kacou Philippe et de notre prophète lui-même, alors que les contradictions entre les religions et notamment le débat contradictoire public a été de tout temps et est aujourd’hui encore la voie de la manifestation de la vérité. Le Seigneur Jésus-Christ par le sacrifice de qui nous sommes chrétiens et de qui les autres aussi se réclament a été maintes fois interrogé publiquement par ses contemporains qui espéraient ainsi le prendre au mot, pour prouver qu’il était un faux prophète. Les écritures témoignent de cela. Il ne peut pas en être autrement aujourd’hui parce que Dieu ne change pas. Il est le même hier aujourd’hui et éternellement et, ce qu’il a fait hier, il le fait et le fera toujours.
Aussi, nous ne pouvons comprendre qu’une demande de confrontation publique pour la manifestation de la vérité entre religieux puisse faire l’objet d’une arrestation et d’un procès engagé avec une telle célérité qu’on croirait qu’il s’agit du jugement d’un crime contre l’humanité. Ces faits qui se passent en république démocratique du Congo, du fait de certains religieux de ce pays réputé laïc de par sa constitution, tendent à jeter l’opprobre sur lui. Nous savons que tous les congolais ne sont pas d’accord avec ces pratiques rétrogrades. Nous voulons donc en appeler ici à la vigilance des autorités congolaise pour que les religieux ne les entrainent pas dans un combat d’intérêts égoïstes qui n’est pas le leur. Nous sommes dans une affaire purement religieuse qui nécessite un débat contradictoire public pour la manifestation de la vérité. C’est à cela que nous invitons la partie plaignante.
Quant aux faits ; Comme les prophètes de la Bible, le 24 avril 1993, le prophète Kacou Philippe a reçu de Dieu appel et commission pour apporter à l’humanité l’Évangile de sa génération en accomplissement du Cri de Matthieu 25:6. Cet Évangile attire depuis 2002 les élus de son temps par des prédications publiques. Le frère N’kanka David aujourd’hui consacré pasteur est l’un de ces élus qui a reconnu le prophète Kacou Philippe. En vertu de sa consécration, il a mandat de porter partout le Message du Cri de minuit et de le confronter, au besoin, à la foi de ceux qui ont une autre compréhension des Écritures laissées par les prophètes morts. Cela est conforme à la vie et la démarche de toutes les religions qui revendiquent être le chemin du Salut des âmes.
C’est donc dans ces conditions que le pasteur N’kanka a dû subir, jusqu’à aujourd’hui, la raillerie de tous ceux qui se moquent du prophète Kacou Philippe. A notre niveau cela n’a jamais posé de problème, puisque c’est dans l’ordre des choses. Il faut convaincre les hommes en leur présentant le Message et s’il le faut les affronter dans un débat contradictoire public, pour leur démontrer qu’ils sont dans l’erreur.
Avec monsieur Esdras Kalonji qui se prévaut aussi du statut de Serviteur de Dieu et tous les autres pasteurs en république démocratique du Congo, nous sommes inscrits dans cette logique. Lors de la mission d’un apôtre du prophète Kacou Philippe en République démocratique du Congo récemment, dans cette perspective certains pasteurs évangéliques l’ont invité à présenter le Message devant leur assemblée en sorte à le confronter à leur foi. Convaincus, ces derniers et leurs assemblées ont pris le baptême au nom du Seigneur Jésus-Christ pour la restitution que prêche le Cri de minuit. Ils sont devenus aujourd’hui disciples du prophète Kacou Philippe.
Dans la même optique de dénonciation du faux et la prédication de sa vérité à lui, le pasteur Esdras Kalonji a déclaré en 2009 ne jamais mettre les pieds dans une église où les femmes portent des pantalons ; parce que cela n’est pas conforme aux prescriptions bibliques. Etonné de ce que, ignorant royalement son propre serment, le pasteur Esdras Kalonji s’est retrouvé dans la même église qu’il dénigrait pour prêcher, notre frère N’kanka David a cru bon de lui rappeler son serment et lui signifier que son comportement tombait sous le coup de la loi biblique ; notamment un acte assimilable à un faux serment comme l’allégorie de ce chien qui retourne à ses vomissures, selon 2 pierre 2:22.
Cela est biblique. Un homme qui renie une chose et qui y retourne s’en abreuver est assimilable à un chien et la Bible le dit au verset plus haut cité. Le pasteur Esdras Kalonji lui-même le sait et il l’a déjà prêché publiquement. En s’appuyant sur ce verset il a déjà condamné dans son église des fidèles qui s’adonnent au péché auquel ils sont abonnés quoi qu’ils crient sur tous les toits y avoir renoncé et être des chrétiens.
S’il ne voit pas les choses de cette façon, pour oser porter plainte devant la justice des hommes, nonobstant son manquement à la parole, c’est qu’il n’y a plus de raison d’épiloguer sur cette affaire. Il n’est pas de chrétien et il n’a jamais cru en un seul passage de la Bible, à plus forte raison au prophète Kacou Philippe qui est son salut aujourd’hui.
La réaction d’un vrai fils de Dieu devrait être de se repentir sincèrement pour se remettre en cause, puisque les faits dénoncés par notre frère N’kanka David sont avérés. Et non le trainer devant la justice des hommes. Cette justice-là ne comprend pas le langage de la Bible. Un juge établit par les hommes peut-il admettre que le Seigneur Jésus-Christ traite ses contemporains de ‘’races de vipère’’ ou les confessions religieuses de son temps de ‘’Tombeaux blanchis’’ ou qu’il aille frapper les vendeurs du temple, semant le trouble partout ? Assurément NON. Le juge n’est ni un prophète messager ni même un ministère d’Ephésiens 4 :11 pour discerner et juger les choses religieuses.
Nous demandons, en conséquence de ce qui précède, que la justice congolaise se déclare incompétente pour connaître de cette affaire religieuse. Que le pasteur N’kanka David soit libéré simplement et purement et que les parties soient ramenées au cadre formel des confessions religieuses pour la manifestation de la vérité. Nous souhaitons un débat public contre le pasteur Esdras Kalonji avec des arguments bibliques pour que le monde entier apprécie à la lumière des écritures et des faits, où se cache la vérité. Et non la manipulation des institutions républicaines au profit d’un groupe d’individus, sur l’autel d’intérêts égoïstes.
Fait à Abidjan (République de côte d’ivoire), le 25 février 2020
POUR LES DISCIPLES
Apôtre Aman Martin
Nous avons appris avec consternation, la nouvelle de l’arrestation de notre frère dans la foi, le pasteur N’kanka David, cette semaine à Kipushi en république démocratique du Congo. Sur les motifs de cette arrestation, des informations concordantes recueillies sur place, il ressort que notre frère est victime d’une persécution religieuse ; chose que nous ne saurions laisser sous silence en ce 21ème siècle, dans un pays dont la loi fondamentale consacre la liberté de croyance religieuse et de pratique de culte.
Nous ne saurions, non plus, accepter cette situation dans la mesure où ces pratiques sont récurrentes à l’endroit des disciples du prophète Kacou Philippe et de notre prophète lui-même, alors que les contradictions entre les religions et notamment le débat contradictoire public a été de tout temps et est aujourd’hui encore la voie de la manifestation de la vérité. Le Seigneur Jésus-Christ par le sacrifice de qui nous sommes chrétiens et de qui les autres aussi se réclament a été maintes fois interrogé publiquement par ses contemporains qui espéraient ainsi le prendre au mot, pour prouver qu’il était un faux prophète. Les écritures témoignent de cela. Il ne peut pas en être autrement aujourd’hui parce que Dieu ne change pas. Il est le même hier aujourd’hui et éternellement et, ce qu’il a fait hier, il le fait et le fera toujours.
Aussi, nous ne pouvons comprendre qu’une demande de confrontation publique pour la manifestation de la vérité entre religieux puisse faire l’objet d’une arrestation et d’un procès engagé avec une telle célérité qu’on croirait qu’il s’agit du jugement d’un crime contre l’humanité. Ces faits qui se passent en république démocratique du Congo, du fait de certains religieux de ce pays réputé laïc de par sa constitution, tendent à jeter l’opprobre sur lui. Nous savons que tous les congolais ne sont pas d’accord avec ces pratiques rétrogrades. Nous voulons donc en appeler ici à la vigilance des autorités congolaise pour que les religieux ne les entrainent pas dans un combat d’intérêts égoïstes qui n’est pas le leur. Nous sommes dans une affaire purement religieuse qui nécessite un débat contradictoire public pour la manifestation de la vérité. C’est à cela que nous invitons la partie plaignante.
Quant aux faits ; Comme les prophètes de la Bible, le 24 avril 1993, le prophète Kacou Philippe a reçu de Dieu appel et commission pour apporter à l’humanité l’Évangile de sa génération en accomplissement du Cri de Matthieu 25:6. Cet Évangile attire depuis 2002 les élus de son temps par des prédications publiques. Le frère N’kanka David aujourd’hui consacré pasteur est l’un de ces élus qui a reconnu le prophète Kacou Philippe. En vertu de sa consécration, il a mandat de porter partout le Message du Cri de minuit et de le confronter, au besoin, à la foi de ceux qui ont une autre compréhension des Écritures laissées par les prophètes morts. Cela est conforme à la vie et la démarche de toutes les religions qui revendiquent être le chemin du Salut des âmes.
C’est donc dans ces conditions que le pasteur N’kanka a dû subir, jusqu’à aujourd’hui, la raillerie de tous ceux qui se moquent du prophète Kacou Philippe. A notre niveau cela n’a jamais posé de problème, puisque c’est dans l’ordre des choses. Il faut convaincre les hommes en leur présentant le Message et s’il le faut les affronter dans un débat contradictoire public, pour leur démontrer qu’ils sont dans l’erreur.
Avec monsieur Esdras Kalonji qui se prévaut aussi du statut de Serviteur de Dieu et tous les autres pasteurs en république démocratique du Congo, nous sommes inscrits dans cette logique. Lors de la mission d’un apôtre du prophète Kacou Philippe en République démocratique du Congo récemment, dans cette perspective certains pasteurs évangéliques l’ont invité à présenter le Message devant leur assemblée en sorte à le confronter à leur foi. Convaincus, ces derniers et leurs assemblées ont pris le baptême au nom du Seigneur Jésus-Christ pour la restitution que prêche le Cri de minuit. Ils sont devenus aujourd’hui disciples du prophète Kacou Philippe.
Dans la même optique de dénonciation du faux et la prédication de sa vérité à lui, le pasteur Esdras Kalonji a déclaré en 2009 ne jamais mettre les pieds dans une église où les femmes portent des pantalons ; parce que cela n’est pas conforme aux prescriptions bibliques. Etonné de ce que, ignorant royalement son propre serment, le pasteur Esdras Kalonji s’est retrouvé dans la même église qu’il dénigrait pour prêcher, notre frère N’kanka David a cru bon de lui rappeler son serment et lui signifier que son comportement tombait sous le coup de la loi biblique ; notamment un acte assimilable à un faux serment comme l’allégorie de ce chien qui retourne à ses vomissures, selon 2 pierre 2:22.
Cela est biblique. Un homme qui renie une chose et qui y retourne s’en abreuver est assimilable à un chien et la Bible le dit au verset plus haut cité. Le pasteur Esdras Kalonji lui-même le sait et il l’a déjà prêché publiquement. En s’appuyant sur ce verset il a déjà condamné dans son église des fidèles qui s’adonnent au péché auquel ils sont abonnés quoi qu’ils crient sur tous les toits y avoir renoncé et être des chrétiens.
S’il ne voit pas les choses de cette façon, pour oser porter plainte devant la justice des hommes, nonobstant son manquement à la parole, c’est qu’il n’y a plus de raison d’épiloguer sur cette affaire. Il n’est pas de chrétien et il n’a jamais cru en un seul passage de la Bible, à plus forte raison au prophète Kacou Philippe qui est son salut aujourd’hui.
La réaction d’un vrai fils de Dieu devrait être de se repentir sincèrement pour se remettre en cause, puisque les faits dénoncés par notre frère N’kanka David sont avérés. Et non le trainer devant la justice des hommes. Cette justice-là ne comprend pas le langage de la Bible. Un juge établit par les hommes peut-il admettre que le Seigneur Jésus-Christ traite ses contemporains de ‘’races de vipère’’ ou les confessions religieuses de son temps de ‘’Tombeaux blanchis’’ ou qu’il aille frapper les vendeurs du temple, semant le trouble partout ? Assurément NON. Le juge n’est ni un prophète messager ni même un ministère d’Ephésiens 4 :11 pour discerner et juger les choses religieuses.
Nous demandons, en conséquence de ce qui précède, que la justice congolaise se déclare incompétente pour connaître de cette affaire religieuse. Que le pasteur N’kanka David soit libéré simplement et purement et que les parties soient ramenées au cadre formel des confessions religieuses pour la manifestation de la vérité. Nous souhaitons un débat public contre le pasteur Esdras Kalonji avec des arguments bibliques pour que le monde entier apprécie à la lumière des écritures et des faits, où se cache la vérité. Et non la manipulation des institutions républicaines au profit d’un groupe d’individus, sur l’autel d’intérêts égoïstes.
Fait à Abidjan (République de côte d’ivoire), le 25 février 2020
POUR LES DISCIPLES
Apôtre Aman Martin