A l’instar des autres pays dans le monde, la Côte d’Ivoire célèbre ce dimanche 8 Mars 2020, la journée internationale des droits de la femme.
Cette journée est censée être le moment opportun pour faire le point sur les acquis en terme de respect des droits des femmes sur une année d’exercice et identifier les défis à relever.
Avant la célébration, l’association ‘’rayon de solidarité’’ a invité les femmes à la réflexion au cours d’une causerie débat portant sur le thème " le combat pour les droits des femmes en Côte d’Ivoire: un engagement hier, aujourd’hui et demain", le vendredi 06 Mars au sein de la fondation Amadou Hampaté Bâ à Cocody.
« Que célébrons nous? quand on sait que notre pays est 171 sur 188 pays et 43e sur 52 pays africains en matière d’équité du genre », s’est interrogée Henriette Carvallo-Diomandé, présidente de l’ONG .
En organisant ce débat, elle a voulu donc donner la parole aux femmes afin qu’elles expriment leur cri de coeur, leurs difficultés quotidiennes pour interpeller les pouvoirs publics.
« Au delà de l’aspect festif qui est mis en avant, nous voulons à travers ce temps de réflexion interpeller les pouvoirs publics sur les insuffisances en matière d’équité, de respect des droits de la femme » a-t-elle défendu.
La projection d’un film dans lequel intervenait des femmes leaders sur l’état des lieux des droits des femmes en Côte d’Ivoire appuyées de conseil et d’engagement a été diffusé pour éveiller les consciences. S’en est suivi un panel enrichissant sur la thématique et des échanges fructueux.
Marlone Gogoua, écrivain et panéliste, a soutenu que la Côte d’Ivoire ne peut se priver de la moitié de sa population du fait qu’elle est femme. Pour lui, les droits des femmes ne sont pas suffisamment valorisés car considérés comme acquis. Il a donc invité les femmes à se mettre ensemble, ne pas se laisser intimider par le machisme, ni le conservatisme.
Le constat est fait, les insuffisances sont connues, il revient aux femmes, jeunes filles, aux hommes et décideurs de contribuer à la mise en application des lois dont le pays s’est doté en matière de promotion du genre, gage de développement.
PR
Cette journée est censée être le moment opportun pour faire le point sur les acquis en terme de respect des droits des femmes sur une année d’exercice et identifier les défis à relever.
Avant la célébration, l’association ‘’rayon de solidarité’’ a invité les femmes à la réflexion au cours d’une causerie débat portant sur le thème " le combat pour les droits des femmes en Côte d’Ivoire: un engagement hier, aujourd’hui et demain", le vendredi 06 Mars au sein de la fondation Amadou Hampaté Bâ à Cocody.
« Que célébrons nous? quand on sait que notre pays est 171 sur 188 pays et 43e sur 52 pays africains en matière d’équité du genre », s’est interrogée Henriette Carvallo-Diomandé, présidente de l’ONG .
En organisant ce débat, elle a voulu donc donner la parole aux femmes afin qu’elles expriment leur cri de coeur, leurs difficultés quotidiennes pour interpeller les pouvoirs publics.
« Au delà de l’aspect festif qui est mis en avant, nous voulons à travers ce temps de réflexion interpeller les pouvoirs publics sur les insuffisances en matière d’équité, de respect des droits de la femme » a-t-elle défendu.
La projection d’un film dans lequel intervenait des femmes leaders sur l’état des lieux des droits des femmes en Côte d’Ivoire appuyées de conseil et d’engagement a été diffusé pour éveiller les consciences. S’en est suivi un panel enrichissant sur la thématique et des échanges fructueux.
Marlone Gogoua, écrivain et panéliste, a soutenu que la Côte d’Ivoire ne peut se priver de la moitié de sa population du fait qu’elle est femme. Pour lui, les droits des femmes ne sont pas suffisamment valorisés car considérés comme acquis. Il a donc invité les femmes à se mettre ensemble, ne pas se laisser intimider par le machisme, ni le conservatisme.
Le constat est fait, les insuffisances sont connues, il revient aux femmes, jeunes filles, aux hommes et décideurs de contribuer à la mise en application des lois dont le pays s’est doté en matière de promotion du genre, gage de développement.
PR