Niakara - Des populations de Niakara disent avoir pris la pleine mesure de la propagation de la pandémie du COVID-19 en Côte d'Ivoire à la suite du bilan fait par le ministre de la Santé et de l'hygiène publique (MSHP), Dr Eugène Aka Aoulé, dimanche, à la télévision nationale, faisant état de 25 cas confirmés du COVID-19.
"Finies la plaisanterie et l'insouciance", ont lancé des populations de Niakara interrogées, dimanche, par l'AIP lors d'un micro-trottoir peu après le bilan présenté par le ministre Aka Aouélé.
"Si quelqu'un me tend la main pour me saluer, son bras va sécher là ! Plus jamais de poignée de mains ni d'accolade", a lancé, dimanche, une tenancière de maquis à Niakara, Yvette Ouattara Gbossoundjoh, 39 ans.
Une opératrice économique, Thérèse Koné, se dit choquée par l'annonce de 25 cas confirmés du COVID-19 faite par Aka Aouélé au journal télévisé de 20 heures ce dimanche.
" Mais ça devient plus qu'inquiétant maintenant et chacun doit nécessairement, sans délai, se conformer scrupuleusement aux mesures et consignes contre la propagation du COVID-19 avant qu'il ne soit trop tard pour nous tous ici ", a soutenu un bouvier à Niakara, Ahmed Diallo, 41 ans.
Un mécanicien à Niakara, Abdoulaye Sanogo, 48 ans, a exprimé ses inquiétudes face à la propagation de l'épidémie, encourageant le Gouvernement à "une répression sévère" des contrevenants aux mesures préventives édictées par le conseil national de sécurité, le 23 mars.
Pour ces personnes, interrogées par l'AIP peu après le JT de 20 heures, dimanche, le temps est désormais à la conscientisation collective et à l'application stricte et obligatoire des mesures préventives édictées par les autorités ivoiriennes contre la propagation du COVID-19.
jbm/ask
"Finies la plaisanterie et l'insouciance", ont lancé des populations de Niakara interrogées, dimanche, par l'AIP lors d'un micro-trottoir peu après le bilan présenté par le ministre Aka Aouélé.
"Si quelqu'un me tend la main pour me saluer, son bras va sécher là ! Plus jamais de poignée de mains ni d'accolade", a lancé, dimanche, une tenancière de maquis à Niakara, Yvette Ouattara Gbossoundjoh, 39 ans.
Une opératrice économique, Thérèse Koné, se dit choquée par l'annonce de 25 cas confirmés du COVID-19 faite par Aka Aouélé au journal télévisé de 20 heures ce dimanche.
" Mais ça devient plus qu'inquiétant maintenant et chacun doit nécessairement, sans délai, se conformer scrupuleusement aux mesures et consignes contre la propagation du COVID-19 avant qu'il ne soit trop tard pour nous tous ici ", a soutenu un bouvier à Niakara, Ahmed Diallo, 41 ans.
Un mécanicien à Niakara, Abdoulaye Sanogo, 48 ans, a exprimé ses inquiétudes face à la propagation de l'épidémie, encourageant le Gouvernement à "une répression sévère" des contrevenants aux mesures préventives édictées par le conseil national de sécurité, le 23 mars.
Pour ces personnes, interrogées par l'AIP peu après le JT de 20 heures, dimanche, le temps est désormais à la conscientisation collective et à l'application stricte et obligatoire des mesures préventives édictées par les autorités ivoiriennes contre la propagation du COVID-19.
jbm/ask