Comme chaque 22 mars , le dimanche dernier a vu la célébration de la journée mondiale de l'eau. l'édition de cette année avait pour thème l'eau et le changement climatique. Ce fut l'opportunité, pour plusieurs entités traitant de la questions de l'eau pour les populations du monde, de faire des communications.
L’agence des États-unis pour le développement international(USAID) pour commémorer cette journée a mis en avant 5 moyens afin d'aider les zones pauvre en eau ,dans le combat contre les crises hydriques. Il s'agit de :
Fournir un service client professionnel, encourager l’innovation culturelle dans le secteur des services d'eau, Conserver de l'eau dans les zones qui en manquent, renforcer les capacités des fournisseurs de service, établir des partenariats pour des solutions adéquates.
L’UNESCO, qui n'est jamais en marge de cette célébration, s'est fait entendre à travers Directrice Générale Audrey Azoulay « Une crise hydrique est une crise globale : l’éducation de qualité, ou le développement de sociétés plus prospères et plus justes, sont par exemple des objectifs qui ne seront pas atteints sans un accès durable à l'eau. L'histoire le prouve : ainsi, en Chine ou en Moyen-Orient, les grands fleuves (Yang Tsé Kiang, Nil, Euphrate) ont par exemple permis le développement des premières grandes civilisations agraires et urbaines. Face à cette urgence, la décennie qui s'ouvre doit être la décennie de l’action », a-t-elle déclaré.
partant de ce propos, l'urgence actuelle est de fournir de l'eau aux populations pour qu'elles se lavent les mains régulièrement, dans la lutte contre la pandémie du Covid-19.
MC.
L’agence des États-unis pour le développement international(USAID) pour commémorer cette journée a mis en avant 5 moyens afin d'aider les zones pauvre en eau ,dans le combat contre les crises hydriques. Il s'agit de :
Fournir un service client professionnel, encourager l’innovation culturelle dans le secteur des services d'eau, Conserver de l'eau dans les zones qui en manquent, renforcer les capacités des fournisseurs de service, établir des partenariats pour des solutions adéquates.
L’UNESCO, qui n'est jamais en marge de cette célébration, s'est fait entendre à travers Directrice Générale Audrey Azoulay « Une crise hydrique est une crise globale : l’éducation de qualité, ou le développement de sociétés plus prospères et plus justes, sont par exemple des objectifs qui ne seront pas atteints sans un accès durable à l'eau. L'histoire le prouve : ainsi, en Chine ou en Moyen-Orient, les grands fleuves (Yang Tsé Kiang, Nil, Euphrate) ont par exemple permis le développement des premières grandes civilisations agraires et urbaines. Face à cette urgence, la décennie qui s'ouvre doit être la décennie de l’action », a-t-elle déclaré.
partant de ce propos, l'urgence actuelle est de fournir de l'eau aux populations pour qu'elles se lavent les mains régulièrement, dans la lutte contre la pandémie du Covid-19.
MC.