La mesure relative à la réduction du nombre de passagers dans les véhicules de transport en commun prise par le gouvernement pour freiner la propagation de la maladie à coronavirus COVID 19 peine à être appliquée par les transporteurs de Bocanda, a constaté l’AIP.
En dépit des instructions que le préfet du département, Soro Fatogoman, a données aux forces de sécurité pour faire appliquer cette décision sur le terrain, les transporteurs de cette localité continuent de surcharger leurs véhicules sous prétexte qu’ils n’ont pas été informés.
Les minicars prennent 24 voir 26 personnes quand on y place des bidons servant de sièges aux passagers au lieu de 16 personnes comme le recommande la décision. Quant aux taxis-brousse, c’est huit à dix passagers au lieu de trois.
S’il arrivait à un passager de se plaindre du non-respect des mesures édictées dans le cadre de la lutte contre la COVID-19, les syndicalistes et apprentis lui demandent de descendre si cela ne l’arrange pas.
Les mesures d’hygyène, particulièrement l’installation d’un dispositif de lavage des mains, ne sont pas non plus respectées.
(AIP)
kkc/ena/
En dépit des instructions que le préfet du département, Soro Fatogoman, a données aux forces de sécurité pour faire appliquer cette décision sur le terrain, les transporteurs de cette localité continuent de surcharger leurs véhicules sous prétexte qu’ils n’ont pas été informés.
Les minicars prennent 24 voir 26 personnes quand on y place des bidons servant de sièges aux passagers au lieu de 16 personnes comme le recommande la décision. Quant aux taxis-brousse, c’est huit à dix passagers au lieu de trois.
S’il arrivait à un passager de se plaindre du non-respect des mesures édictées dans le cadre de la lutte contre la COVID-19, les syndicalistes et apprentis lui demandent de descendre si cela ne l’arrange pas.
Les mesures d’hygyène, particulièrement l’installation d’un dispositif de lavage des mains, ne sont pas non plus respectées.
(AIP)
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