Six jeunes interpellés mardi à Abengourou pour non-respect du couvre-feu ont été jugés lundi au tribunal de première instance d’Abengourou et condamnés à six mois de prison avec sursis, assortie d’une amende de 300 000 FCFA chacun à payer à l'État de Côte d’Ivoire.
Le tribunal d’Abengourou n’a pas attendu mercredi, le jour traditionnel de ses audiences, pour se réunir en audience exceptionnelle en vue de trancher sur le cas des individus interpellés.
Les prévenus ont reconnu les faits. Ils ont expliqué qu’ils ont été arrêtés pour certains alors qu’ils revenaient d’un voyage ou du travail et d’autres pris devant le portail de leur domicile au-delà de 21 H.
Le tribunal a fait remarquer que les prévenus ont été interpellés à un moment assez particulier de grave crise sanitaire avec la propagation du COVID-19. Une maladie virale qui continue de causer d’énorme dégâts dans le monde avec des flots de personnes décédées et infectées, et de prise de mesures drastiques au nombre desquelles le couvre-feu, pour prévenir la propagation de la pandémie.
« C’est cette astreinte que les prévenus ont dérogé de façon manifeste et libérée et de violer », a soutenu le procureur Djè Noël.
Il a saisi l’occasion pour insister sur l’importance du couvre-feu et le respect des mesures de barrières sanitaires. « c’est pour préserver la bonne santé du peuple ivoirien que ces mesures ont été édictées », a rappelé le procureur d’Abengourou.
(AIP)
nam/cmas
Le tribunal d’Abengourou n’a pas attendu mercredi, le jour traditionnel de ses audiences, pour se réunir en audience exceptionnelle en vue de trancher sur le cas des individus interpellés.
Les prévenus ont reconnu les faits. Ils ont expliqué qu’ils ont été arrêtés pour certains alors qu’ils revenaient d’un voyage ou du travail et d’autres pris devant le portail de leur domicile au-delà de 21 H.
Le tribunal a fait remarquer que les prévenus ont été interpellés à un moment assez particulier de grave crise sanitaire avec la propagation du COVID-19. Une maladie virale qui continue de causer d’énorme dégâts dans le monde avec des flots de personnes décédées et infectées, et de prise de mesures drastiques au nombre desquelles le couvre-feu, pour prévenir la propagation de la pandémie.
« C’est cette astreinte que les prévenus ont dérogé de façon manifeste et libérée et de violer », a soutenu le procureur Djè Noël.
Il a saisi l’occasion pour insister sur l’importance du couvre-feu et le respect des mesures de barrières sanitaires. « c’est pour préserver la bonne santé du peuple ivoirien que ces mesures ont été édictées », a rappelé le procureur d’Abengourou.
(AIP)
nam/cmas