L’ambassadeur des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, Richard Bell, partage dans un éditorial dont Abidjan.net a eu copie, l’engagement de son pays pour les causes humanitaires de le monde, en particulier, pour la lutte contre le coronavirus depuis son apparition. Ci-dessous, l’intégralité de son texte.
LE LEADERSHIP AMÉRICAIN DANS LA LUTTE MONDIALE CONTRE LE COVID-19
Le leadership américain dans la lutte mondiale contre le Covid-19 s’inscrit dans la durée et dans la continuité de jours, de mois, et de décennies d’assistance. Chaque jour, une assistance technique et matérielle américaine supplémentaire arrive dans les hôpitaux et les laboratoires du monde entier. Ces efforts s’appuient eux aussi sur des décennies d’expertise, de générosité et de planification sans égales de la part des États-Unis.
Nous fournissons cette aide parce que nous pensons que c’est la chose à faire, et parce que les pandémies ne respectent pas les frontières. Si nous pouvons aider les pays à contenir les épidémies, nous sauverons des vies à l’étranger et aux États-Unis.
Les États-Unis ont été l’un des premiers pays à offrir de l’aide au peuple chinois dès que des informations ont fait état d’une épidémie à Wuhan. Début janvier, le gouvernement des États-Unis a proposé une assistance technique immédiate au Centre chinois de contrôle des maladies.
Notre réponse va maintenant bien au-delà de cet engagement initial. Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, le gouvernement américain a engagé à ce jour une aide de près de 500 millions de dollars. Ce financement permettra d’améliorer l’éducation en matière de santé publique, de protéger les établissements de santé et d’accroître les capacités de laboratoire, de surveillance des maladies et d’intervention rapide dans plus de 60 des pays les plus à risque au monde.
Notre assistance aide des populations dans les circonstances les plus difficiles. Par exemple, le gouvernement américain travaille avec des ONG pour livrer des médicaments, des fournitures médicales et de la nourriture au peuple syrien, y compris dans les zones contrôlées par le régime en place. Nous aidons les agences des Nations unies et les organisations non gouvernementales à construire davantage de structures destinées à la distribution d’eau, à l’assainissement et aux services de santé dans le nord de la Syrie, pour faire obstacle à la propagation du virus. Nous aidons nos amis de l’Afrique à l’Asie et bien au-delà.
De nombreuses organisations internationales en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 bénéficient également des contributions inégalées de l’Amérique.
Les États-Unis sont le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé depuis sa fondation en 1948. Nous avons donné plus de 400 millions de dollars à cette institution en 2019, soit près du double de la deuxième contribution et plus que les trois contributeurs suivants réunis.
Il en va de même pour ce qui est du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, que les États-Unis ont financé à hauteur de près de 1,7 milliard de dollars en 2019. C’est plus que tous les autres États membres réunis.
Il y a ensuite le Programme alimentaire mondial, auquel les États-Unis ont donné 3,4 milliards de dollars l’année dernière, ce qui représente 42 % de son budget total. Nous avons également donné plus de 700 millions de dollars au Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), plus que tout autre donateur.
Lorsque ces organisations internationales fournissent de la nourriture, des médicaments et d’autres aides dans le monde entier, c’est dans une large mesure grâce à la générosité du peuple américain en partenariat avec d’autres pays donateurs, et nous en sommes fiers.
Les Etats-Unis restent le plus grand donateur d’aide humanitaire et dans le domaine de la santé, à la fois pour le développement et le renforcement des capacités à long terme avec les partenaires, et dans le cadre des interventions d’urgence face aux crises récurrentes. Ces fonds ont permis de sauver des vies, de protéger les personnes les plus vulnérables aux maladies, de construire des établissements de santé et de contribuer à la stabilité de communautés et de nations.
L’Amérique finance près de 40 % des programmes mondiaux d’assistance sanitaire, à hauteur de 140 milliards de dollars d’investissements sur les 20 dernières années. Depuis 2009, les contribuables américains ont généreusement financé plus de 100 milliards de dollars d’aide sanitaire et près de 70 milliards de dollars d’aide humanitaire dans le monde.
C’est aussi pourquoi nous avons financé le programme PEPFAR contre le VIH-SIDA ici en Côte d’Ivoire à hauteur de 1,7 milliard de dollars ces quinze dernières années. Aujourd’hui encore, les Etats-Unis financent 70% du budget de la lutte contre le VIH-SIDA dans ce pays. Ce programme a sauvé la vie de plus de cent mille Ivoiriens et permis à des dizaines de milliers d’autres d’éviter d’être infectés par ce virus mortel.
Le gouvernement américain soutien à la fois l'Initiative présidentielle contre le paludisme ($50 millions) et le Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme ($212 millions) en Côte d’Ivoire.
Au-delà de la lutte contre le VIH, le gouvernement des Etats-Unis augmente, sur les plans technique et financier, la capacité de la Côte d’Ivoire de se protéger contre et répondre aux maladies infectieuses diverses, y compris la polio, la grippe, et maintenant Covid-19. Grâce à ces investissements et à cette collaboration fructueuse durant des décennies, le réseau de laboratoire et le corps professionnel de la santé publique sont bien plus capables de faire face à la pandémie actuelle. Le gouvernement des Etats-Unis travaille en étroite collaboration avec le gouvernement et le peuple ivoiriens à tous niveaux, afin de pouvoir protéger la population la plus vulnérable du Covid-19 en élargissant l’accès au traitement le plus efficace et aux soins différenciés.
Notre aide ne se limite pas à l’argent ni aux fournitures. Il y a aussi les experts que nous avons déployés dans le monde entier et ceux qui continuent aujourd’hui de présenter des tutoriels par téléconférence. Il y a les médecins et les professionnels de la santé publique de nombreux pays formés grâce à des fonds et à des établissements d’enseignement américains.
Bien sûr, ce n’est pas seulement notre gouvernement qui aide le monde. Les entreprises, les ONG et les organisations confessionnelles des États-Unis ont donné au moins 1,5 milliard de dollars pour lutter contre la présente pandémie à l’étranger. Les entreprises américaines mettent au point des innovations technologiques destinées au développement de vaccins, de traitements, de diagnostic et de ventilateurs.
Comme ils l’ont fait à maintes reprises, les États-Unis continueront d’aider les autres pays lorsqu’ils en auront le plus besoin. La pandémie de COVID-19 ne fait pas exception à cette règle. Nous continuerons d’aider les pays à mettre en place des systèmes de soins de santé résilients permettant de prévenir et de détecter les épidémies de maladies infectieuses ainsi que d’y réagir. Depuis des générations, les États-Unis font du monde un lieu plus sain, plus pacifique et plus prospère. Cette fois-ci encore, ils feront preuve de leadership pour vaincre notre ennemi pandémique commun, afin que nous en ressortions tous plus forts.
LE LEADERSHIP AMÉRICAIN DANS LA LUTTE MONDIALE CONTRE LE COVID-19
Le leadership américain dans la lutte mondiale contre le Covid-19 s’inscrit dans la durée et dans la continuité de jours, de mois, et de décennies d’assistance. Chaque jour, une assistance technique et matérielle américaine supplémentaire arrive dans les hôpitaux et les laboratoires du monde entier. Ces efforts s’appuient eux aussi sur des décennies d’expertise, de générosité et de planification sans égales de la part des États-Unis.
Nous fournissons cette aide parce que nous pensons que c’est la chose à faire, et parce que les pandémies ne respectent pas les frontières. Si nous pouvons aider les pays à contenir les épidémies, nous sauverons des vies à l’étranger et aux États-Unis.
Les États-Unis ont été l’un des premiers pays à offrir de l’aide au peuple chinois dès que des informations ont fait état d’une épidémie à Wuhan. Début janvier, le gouvernement des États-Unis a proposé une assistance technique immédiate au Centre chinois de contrôle des maladies.
Notre réponse va maintenant bien au-delà de cet engagement initial. Depuis le début de l’épidémie de COVID-19, le gouvernement américain a engagé à ce jour une aide de près de 500 millions de dollars. Ce financement permettra d’améliorer l’éducation en matière de santé publique, de protéger les établissements de santé et d’accroître les capacités de laboratoire, de surveillance des maladies et d’intervention rapide dans plus de 60 des pays les plus à risque au monde.
Notre assistance aide des populations dans les circonstances les plus difficiles. Par exemple, le gouvernement américain travaille avec des ONG pour livrer des médicaments, des fournitures médicales et de la nourriture au peuple syrien, y compris dans les zones contrôlées par le régime en place. Nous aidons les agences des Nations unies et les organisations non gouvernementales à construire davantage de structures destinées à la distribution d’eau, à l’assainissement et aux services de santé dans le nord de la Syrie, pour faire obstacle à la propagation du virus. Nous aidons nos amis de l’Afrique à l’Asie et bien au-delà.
De nombreuses organisations internationales en première ligne dans la lutte contre le Covid-19 bénéficient également des contributions inégalées de l’Amérique.
Les États-Unis sont le plus grand bailleur de fonds de l’Organisation mondiale de la santé depuis sa fondation en 1948. Nous avons donné plus de 400 millions de dollars à cette institution en 2019, soit près du double de la deuxième contribution et plus que les trois contributeurs suivants réunis.
Il en va de même pour ce qui est du Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés, que les États-Unis ont financé à hauteur de près de 1,7 milliard de dollars en 2019. C’est plus que tous les autres États membres réunis.
Il y a ensuite le Programme alimentaire mondial, auquel les États-Unis ont donné 3,4 milliards de dollars l’année dernière, ce qui représente 42 % de son budget total. Nous avons également donné plus de 700 millions de dollars au Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), plus que tout autre donateur.
Lorsque ces organisations internationales fournissent de la nourriture, des médicaments et d’autres aides dans le monde entier, c’est dans une large mesure grâce à la générosité du peuple américain en partenariat avec d’autres pays donateurs, et nous en sommes fiers.
Les Etats-Unis restent le plus grand donateur d’aide humanitaire et dans le domaine de la santé, à la fois pour le développement et le renforcement des capacités à long terme avec les partenaires, et dans le cadre des interventions d’urgence face aux crises récurrentes. Ces fonds ont permis de sauver des vies, de protéger les personnes les plus vulnérables aux maladies, de construire des établissements de santé et de contribuer à la stabilité de communautés et de nations.
L’Amérique finance près de 40 % des programmes mondiaux d’assistance sanitaire, à hauteur de 140 milliards de dollars d’investissements sur les 20 dernières années. Depuis 2009, les contribuables américains ont généreusement financé plus de 100 milliards de dollars d’aide sanitaire et près de 70 milliards de dollars d’aide humanitaire dans le monde.
C’est aussi pourquoi nous avons financé le programme PEPFAR contre le VIH-SIDA ici en Côte d’Ivoire à hauteur de 1,7 milliard de dollars ces quinze dernières années. Aujourd’hui encore, les Etats-Unis financent 70% du budget de la lutte contre le VIH-SIDA dans ce pays. Ce programme a sauvé la vie de plus de cent mille Ivoiriens et permis à des dizaines de milliers d’autres d’éviter d’être infectés par ce virus mortel.
Le gouvernement américain soutien à la fois l'Initiative présidentielle contre le paludisme ($50 millions) et le Fonds Mondial de lutte contre le SIDA, la tuberculose et le paludisme ($212 millions) en Côte d’Ivoire.
Au-delà de la lutte contre le VIH, le gouvernement des Etats-Unis augmente, sur les plans technique et financier, la capacité de la Côte d’Ivoire de se protéger contre et répondre aux maladies infectieuses diverses, y compris la polio, la grippe, et maintenant Covid-19. Grâce à ces investissements et à cette collaboration fructueuse durant des décennies, le réseau de laboratoire et le corps professionnel de la santé publique sont bien plus capables de faire face à la pandémie actuelle. Le gouvernement des Etats-Unis travaille en étroite collaboration avec le gouvernement et le peuple ivoiriens à tous niveaux, afin de pouvoir protéger la population la plus vulnérable du Covid-19 en élargissant l’accès au traitement le plus efficace et aux soins différenciés.
Notre aide ne se limite pas à l’argent ni aux fournitures. Il y a aussi les experts que nous avons déployés dans le monde entier et ceux qui continuent aujourd’hui de présenter des tutoriels par téléconférence. Il y a les médecins et les professionnels de la santé publique de nombreux pays formés grâce à des fonds et à des établissements d’enseignement américains.
Bien sûr, ce n’est pas seulement notre gouvernement qui aide le monde. Les entreprises, les ONG et les organisations confessionnelles des États-Unis ont donné au moins 1,5 milliard de dollars pour lutter contre la présente pandémie à l’étranger. Les entreprises américaines mettent au point des innovations technologiques destinées au développement de vaccins, de traitements, de diagnostic et de ventilateurs.
Comme ils l’ont fait à maintes reprises, les États-Unis continueront d’aider les autres pays lorsqu’ils en auront le plus besoin. La pandémie de COVID-19 ne fait pas exception à cette règle. Nous continuerons d’aider les pays à mettre en place des systèmes de soins de santé résilients permettant de prévenir et de détecter les épidémies de maladies infectieuses ainsi que d’y réagir. Depuis des générations, les États-Unis font du monde un lieu plus sain, plus pacifique et plus prospère. Cette fois-ci encore, ils feront preuve de leadership pour vaincre notre ennemi pandémique commun, afin que nous en ressortions tous plus forts.
