Le conseil des ministres a décidé de proroger la fermeture des établissements d’enseignement préscolaire, primaire, secondaire, technique et supérieur pour une période allant du 17 avril au 17 mai 2020 en vue de contrer la prorogation de la maladie à coronavirus, a annoncé mercredi son porte-parole, Sidi Touré.
Compte tenu de la pandémie du coronavirus, la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs pays au monde, avait décidé de la fermeture de ses établissements de formation et d’éducation, le 16 mars 2020, lors d’une réunion du conseil de sécurité (CNS).
Cependant, en vue de maintenir en éveil les apprenants, le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, a conçu un programme de révision à distance, en collaboration avec la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI).
Les séances de diffusion, sur les supports (radio et télévision) de la RTI, ont démarré depuis quelques jours et ne concernent pour le moment que les classes d’examen à savoir le Cours moyen 2 (CM2), la Troisième et la Terminale.
Si cette initiative est saluée par la majorité des parents d’élèves, il reste néanmoins que les enfants des zones rurales non électrifiées ont des difficultés pour suivre les cours, rappelle-t-on.
(AIP)
gak
Compte tenu de la pandémie du coronavirus, la Côte d’Ivoire, à l’instar de plusieurs pays au monde, avait décidé de la fermeture de ses établissements de formation et d’éducation, le 16 mars 2020, lors d’une réunion du conseil de sécurité (CNS).
Cependant, en vue de maintenir en éveil les apprenants, le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement technique et de la Formation professionnelle, a conçu un programme de révision à distance, en collaboration avec la Radiodiffusion télévision ivoirienne (RTI).
Les séances de diffusion, sur les supports (radio et télévision) de la RTI, ont démarré depuis quelques jours et ne concernent pour le moment que les classes d’examen à savoir le Cours moyen 2 (CM2), la Troisième et la Terminale.
Si cette initiative est saluée par la majorité des parents d’élèves, il reste néanmoins que les enfants des zones rurales non électrifiées ont des difficultés pour suivre les cours, rappelle-t-on.
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