Le Collectif des Artistes et acteurs Culturels Ivoiriens contre le Covid19 (CACIC) a animé ce jeudi 23 avril 2020, une conférence de presse pour demander au gouvernement de mettre en place un plan d’urgence pour aider tous les acteurs du monde de la culture en Côte d’Ivoire.
« Il faut un plan d’urgence (de 6 mois à 1an, ndlr) pour le secteur des arts et de la cultures qui compte près de 40000 personnes. L’Etat ivoirien doit prendre une décision historique d’aider le secteur de façon significative en donnant des ressources à la hauteur de ce que nous sommes » a déclaré le coordonateur dudit collectif, Alain Tally.
A l’en croire, le secteur culturel ne renferme pas uniquement les artistes. « Le secteur culturel est loin de se réduire aux artistes seuls. Pour qu’un artiste chante dans micro, il y a tout un travail derrière. Nous voulons donc sensibiliser les autorités. Lorsqu’on dit culture, cela ne signifie pas forcément artiste ou ne réfère pas forcément au Burida. Il est normal d’aider l’artiste mais il est impérieux d’aider toute la chaine de production culturelle pour que nous soyons tous en phase et pris en compte. »
Afin de mettre tous les atouts de leurs cotes pour avoir une suite favorable à leur requête, ces artistes ont entrepris un travail de recensement et de mobilisation de tous les acteur. Il a également échangé avec la tutelle, le ministère de la culture et de la francophonie, qui a recommandé de produire une étude documentée afin que l’état soit informé des réalités que traverse le monde culturel.
« Un comité de travail auquel nous avons associé des économistes a été mis en place. Depuis deux semaines, un questionnaire a été diffusé en ligne pour recueillir les informations, sur les associations, les entreprises culturelles et les acteurs pour voir quelles activités qu’ils ont mené en 2019, ce qu’il ont prévu en 2020, qui n’a pas eu lieu et quel est le manque à gagner, afin de donner la bonne information à la tutelle » a expliqué l’écrivain.
Durant cette période difficile, le collectif a prévu apporter son expertise dans la lutte. Ce, à travers des actions pour la réalisation d’une oeuvre collective qui va mettre en scène l’ensemble des métiers au sein du collectif et la mise sur pied d’un projet de festival en ligne pour que les artistes continuent à travailler.
Le CACIC revendique 35000 personnes issus de tous les corps de métiers et discipline (écrivains, acteurs, chanteur, peintres, comédiens, danseur, perchman, bruiteurs, accessoiristes, costumiers, bruiteurs, maquilleuses, maquis, bars, salles de spectacles, salle de cinéma, producteurs, manager, directeur de galerie, de compagnie…), non compris les sociétaires du BURIDA, les artistes traditionnels, les enseignants, les animateurs culturels.
PR
« Il faut un plan d’urgence (de 6 mois à 1an, ndlr) pour le secteur des arts et de la cultures qui compte près de 40000 personnes. L’Etat ivoirien doit prendre une décision historique d’aider le secteur de façon significative en donnant des ressources à la hauteur de ce que nous sommes » a déclaré le coordonateur dudit collectif, Alain Tally.
A l’en croire, le secteur culturel ne renferme pas uniquement les artistes. « Le secteur culturel est loin de se réduire aux artistes seuls. Pour qu’un artiste chante dans micro, il y a tout un travail derrière. Nous voulons donc sensibiliser les autorités. Lorsqu’on dit culture, cela ne signifie pas forcément artiste ou ne réfère pas forcément au Burida. Il est normal d’aider l’artiste mais il est impérieux d’aider toute la chaine de production culturelle pour que nous soyons tous en phase et pris en compte. »
Afin de mettre tous les atouts de leurs cotes pour avoir une suite favorable à leur requête, ces artistes ont entrepris un travail de recensement et de mobilisation de tous les acteur. Il a également échangé avec la tutelle, le ministère de la culture et de la francophonie, qui a recommandé de produire une étude documentée afin que l’état soit informé des réalités que traverse le monde culturel.
« Un comité de travail auquel nous avons associé des économistes a été mis en place. Depuis deux semaines, un questionnaire a été diffusé en ligne pour recueillir les informations, sur les associations, les entreprises culturelles et les acteurs pour voir quelles activités qu’ils ont mené en 2019, ce qu’il ont prévu en 2020, qui n’a pas eu lieu et quel est le manque à gagner, afin de donner la bonne information à la tutelle » a expliqué l’écrivain.
Durant cette période difficile, le collectif a prévu apporter son expertise dans la lutte. Ce, à travers des actions pour la réalisation d’une oeuvre collective qui va mettre en scène l’ensemble des métiers au sein du collectif et la mise sur pied d’un projet de festival en ligne pour que les artistes continuent à travailler.
Le CACIC revendique 35000 personnes issus de tous les corps de métiers et discipline (écrivains, acteurs, chanteur, peintres, comédiens, danseur, perchman, bruiteurs, accessoiristes, costumiers, bruiteurs, maquilleuses, maquis, bars, salles de spectacles, salle de cinéma, producteurs, manager, directeur de galerie, de compagnie…), non compris les sociétaires du BURIDA, les artistes traditionnels, les enseignants, les animateurs culturels.
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