Toumodi – Le comité départemental de lutte contre les pandémies à interpeller le syndicat des transporteurs dont certains membres procèdent à l’augmentation des tarifs sur certaines lignes.
Lors de sa réunion, vendredi, le comité départemental de lutte contre les pandémies à plancher sur le cas de certains transporteurs qui procèdent à l’augmentation du tarif sur certaines lignes dont celle de kadiokro et Anikro pour lesquelles le tarif est passé du simple au double.
«C’est vrai qu’au lieu de six personnes ils prennent maintenant trois passagers mais pour rattraper ce déficit, les chauffeurs font payer 1000 F au lieu de 500 francs. » a expliqué Junior Kouakou, membre dudit comité.
Pour le premier responsable du syndicat des transporteurs de Toumodi, Mory Cissé, cette augmentation a été faite à leur insu. « Nous avons de fréquentes réunions avec les transporteurs au cours desquelles nous leur demandons de respecter les gestes barrières et de ne pas augmenter le tarif qu’il s’agisse des taxis, des gbakas et autres. Mais nous ne sommes pas sur le terrain. Et cette augmentation s’est faite à notre insu », s’est-il justifié.
«C’est vrai que la plupart arrive à respecter les consignes malgré que la réduction du nombre de passagers qui nous cause un important préjudice. (…) Cependant si jusqu’à la fin du mois d’Avril, le gouvernement ne se penche pas sur notre situation, nous serons contraints de garer les véhicules faute de moyen », a-t-il prévenu.
Le secrétaire général de préfecture, Kouamé Bouaki a insisté auprès de l’ensemble des transports pour maintenir la sensibilisation. « Malgré toutes les difficultés que vous mentionnez qui sont réelles, nous vous invitons à maintenir vos efforts en continuant la sensibilisation auprès de vos chauffeurs. Nous ne voulons pas d’augmentation », a précisé M. Kouamé.
(AIP)
gba/kkf/kam
Lors de sa réunion, vendredi, le comité départemental de lutte contre les pandémies à plancher sur le cas de certains transporteurs qui procèdent à l’augmentation du tarif sur certaines lignes dont celle de kadiokro et Anikro pour lesquelles le tarif est passé du simple au double.
«C’est vrai qu’au lieu de six personnes ils prennent maintenant trois passagers mais pour rattraper ce déficit, les chauffeurs font payer 1000 F au lieu de 500 francs. » a expliqué Junior Kouakou, membre dudit comité.
Pour le premier responsable du syndicat des transporteurs de Toumodi, Mory Cissé, cette augmentation a été faite à leur insu. « Nous avons de fréquentes réunions avec les transporteurs au cours desquelles nous leur demandons de respecter les gestes barrières et de ne pas augmenter le tarif qu’il s’agisse des taxis, des gbakas et autres. Mais nous ne sommes pas sur le terrain. Et cette augmentation s’est faite à notre insu », s’est-il justifié.
«C’est vrai que la plupart arrive à respecter les consignes malgré que la réduction du nombre de passagers qui nous cause un important préjudice. (…) Cependant si jusqu’à la fin du mois d’Avril, le gouvernement ne se penche pas sur notre situation, nous serons contraints de garer les véhicules faute de moyen », a-t-il prévenu.
Le secrétaire général de préfecture, Kouamé Bouaki a insisté auprès de l’ensemble des transports pour maintenir la sensibilisation. « Malgré toutes les difficultés que vous mentionnez qui sont réelles, nous vous invitons à maintenir vos efforts en continuant la sensibilisation auprès de vos chauffeurs. Nous ne voulons pas d’augmentation », a précisé M. Kouamé.
(AIP)
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