Bouna - Dame D.I.C ménagère domiciliée à Moro-moro dans la sous-préfecture de Tougbo (Téhini) a été condamnée mercredi par la section de Tribunal de Bouna à six mois de prison ferme pour coups et blessures volontaires sur une autre Dame, K. A.
La victime, K. A a ingurgité quelques litres de cette bière artisanale, communément appelée " Tchapalo" sans autorisation de la propriétaire D. I. C, vendeuse très connue dans la localité de Moro-moro de cette bière. Aux dires des témoins, les deux femmes s'étaient maintes fois lancées des injures au cours de nombreux occasions et depuis lors, elles se regardaient en chien de faïence.
Face au geste de dame K.A, D. I. C s'est emportée et a décidé d'en découdre définitivement avec elle. Une bagarre éclate alors entre les deux femmes. La vendeuse de" tchapalo" ayant plus de vigueur réussit à écrouler son adversaire. Et comme si cela ne suffisait pas, elle se sert d'un solide bâton pour administrer de violents coups sur le crâne de l'infortunée K. A qui, après quelques secondes de choc, s'est évanouie.
Mme D. terrifiée par son acte, se met à pleurer. Mais la foule remontée contre elle, informe le mari de la victime qui se rend sur les lieux et la saisit manu militari pour la conduire au poste avancé de gendarmerie de Tougbo. Le lendemain elle a été déférée à Bouna. K. A a été donc conduite à l'hôpital de Téhini pour des soins.
À la barre du tribunal de Bouna, l'auteur de l'acte, a plaidé pour être en liberté afin de suivre et allaiter son fils, un nourrisson de quatre mois qui était présent dans la salle d'audience. Cette doléance est restée sourde aux oreilles du juge qui lui a d'ailleurs infligé, en plus de sa condamnation, une amende de 100 000 F CFA.
(AIP)
on/tad/kam
La victime, K. A a ingurgité quelques litres de cette bière artisanale, communément appelée " Tchapalo" sans autorisation de la propriétaire D. I. C, vendeuse très connue dans la localité de Moro-moro de cette bière. Aux dires des témoins, les deux femmes s'étaient maintes fois lancées des injures au cours de nombreux occasions et depuis lors, elles se regardaient en chien de faïence.
Face au geste de dame K.A, D. I. C s'est emportée et a décidé d'en découdre définitivement avec elle. Une bagarre éclate alors entre les deux femmes. La vendeuse de" tchapalo" ayant plus de vigueur réussit à écrouler son adversaire. Et comme si cela ne suffisait pas, elle se sert d'un solide bâton pour administrer de violents coups sur le crâne de l'infortunée K. A qui, après quelques secondes de choc, s'est évanouie.
Mme D. terrifiée par son acte, se met à pleurer. Mais la foule remontée contre elle, informe le mari de la victime qui se rend sur les lieux et la saisit manu militari pour la conduire au poste avancé de gendarmerie de Tougbo. Le lendemain elle a été déférée à Bouna. K. A a été donc conduite à l'hôpital de Téhini pour des soins.
À la barre du tribunal de Bouna, l'auteur de l'acte, a plaidé pour être en liberté afin de suivre et allaiter son fils, un nourrisson de quatre mois qui était présent dans la salle d'audience. Cette doléance est restée sourde aux oreilles du juge qui lui a d'ailleurs infligé, en plus de sa condamnation, une amende de 100 000 F CFA.
(AIP)
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