L’Afrique sous la menace d’une violente crise économique (1). Avec la pandémie, la demande, notamment asiatique, dégringole pour ces deux cultures dont le pays est le premier producteur mondial.
C’est l’une des dernières fenêtres vers l’extérieur, le dernier maillon de toute une filière qui tourne au ralenti. Malgré la fermeture des frontières aériennes, terrestres et maritimes, les ports ivoiriens d’Abidjan et de San Pedro sont encore en activité. Mais la voilure se réduit considérablement.
« Là, vous avez les importations : sucre, blé, sucre, riz, blé, riz, énumère Alexis Zadéon, docker au port d’Abidjan, les yeux rivés sur son carnet. Et là les exportations : manganèse, bauxite, hévéa, rien pour le cacao et l’anacarde de mon côté. » La... suite de l'article sur
C’est l’une des dernières fenêtres vers l’extérieur, le dernier maillon de toute une filière qui tourne au ralenti. Malgré la fermeture des frontières aériennes, terrestres et maritimes, les ports ivoiriens d’Abidjan et de San Pedro sont encore en activité. Mais la voilure se réduit considérablement.
« Là, vous avez les importations : sucre, blé, sucre, riz, blé, riz, énumère Alexis Zadéon, docker au port d’Abidjan, les yeux rivés sur son carnet. Et là les exportations : manganèse, bauxite, hévéa, rien pour le cacao et l’anacarde de mon côté. » La... suite de l'article sur