Abidjan - Une entrepreneuse africaine, Charlotte Libog, créatrice de la plateforme Afrique Grenier du monde, contaminée fin février par la COVID-19, affirme avoir été guérie après s’être servie de l’Artemisia, une plante reconnue et répandue en Afrique pour ses vertus antipaludiques, qui serait efficace contre le coronavirus.
« Si selon le Dr Raoult, la chloroquine soigne ou permet de soulager les malades atteints du COVID-19, je fais le lien avec l’Artemisia qui est une plante qui guérit de nombreux cas de paludisme en Afrique et un peu partout dans le monde », a affirmé Charlotte Libog au micro de l’Agence de presse russe Sputnik.
Pourtant, la communauté scientifique met en garde contre l’utilisation de l’Artemisia, relevant une efficacité hypothétique de ce remède.
Si elle se dit aujourd’hui guérie, ce ne serait pas grâce à son séjour dans un hôpital français, explique-t-elle, après avoir fait le parallèle avec le traitement du Professeur Didier Raoult, qui préconise la chloroquine, un antipaludique, dans la lutte contre la COVID-19.
Ayant constaté les premiers symptômes, Charlotte Libog a consommé une tisane à base d'Artemisia. Ils se sont calmés, puis vite revenus, poussant Mme Libog vers les urgences, « une expérience assez horrible, tout le monde vous regarde comme une pestiférée ».
Une fois isolée en unité Covid, elle raconte que les médecins ont émis différents diagnostics, à savoir « Tuberculose, embolie pulmonaire ». La jeune femme s'est vu administrer du clamoxyl, un antibiotique. Elle a finalement quitté l’hôpital le lendemain, sur simple demande.
« Je suis rentrée, j’ai continué l’Artemisia et au bout d’une semaine, les douleurs ont commencé à s’estomper et ont fini par disparaître au bout d’un mois », assure Charlotte Libog.
Un témoignage qui s’ajoute à ceux qui circulent sur les réseaux sociaux.
(AIP)
eaa/cmas
« Si selon le Dr Raoult, la chloroquine soigne ou permet de soulager les malades atteints du COVID-19, je fais le lien avec l’Artemisia qui est une plante qui guérit de nombreux cas de paludisme en Afrique et un peu partout dans le monde », a affirmé Charlotte Libog au micro de l’Agence de presse russe Sputnik.
Pourtant, la communauté scientifique met en garde contre l’utilisation de l’Artemisia, relevant une efficacité hypothétique de ce remède.
Si elle se dit aujourd’hui guérie, ce ne serait pas grâce à son séjour dans un hôpital français, explique-t-elle, après avoir fait le parallèle avec le traitement du Professeur Didier Raoult, qui préconise la chloroquine, un antipaludique, dans la lutte contre la COVID-19.
Ayant constaté les premiers symptômes, Charlotte Libog a consommé une tisane à base d'Artemisia. Ils se sont calmés, puis vite revenus, poussant Mme Libog vers les urgences, « une expérience assez horrible, tout le monde vous regarde comme une pestiférée ».
Une fois isolée en unité Covid, elle raconte que les médecins ont émis différents diagnostics, à savoir « Tuberculose, embolie pulmonaire ». La jeune femme s'est vu administrer du clamoxyl, un antibiotique. Elle a finalement quitté l’hôpital le lendemain, sur simple demande.
« Je suis rentrée, j’ai continué l’Artemisia et au bout d’une semaine, les douleurs ont commencé à s’estomper et ont fini par disparaître au bout d’un mois », assure Charlotte Libog.
Un témoignage qui s’ajoute à ceux qui circulent sur les réseaux sociaux.
(AIP)
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