Le président du Sénat Jeannot Ahoussou-Kouadio a partagé vendredi au ministre de l’administration du territoire et de la décentralisation, Diakité Sidiki, sa vision d’impliquer toutes les structures décentralisées de l’administration en vue de la prise en compte effective des plus démunis dans l’aide à la relance des activités économiques post-Covid-19.
« Nous avons la responsabilité de porter les cris de désespoir de ces personnes, ces femmes qui le matin vendent un peu de pain sucré, font leurs activités autour des écoles primaires qui leur permettent d’avoir un peu d’argent pour subvenir aux besoins de leurs familles », a indiqué Ahoussou-Kouadio.
« Cela fait deux mois qu’ils n’ont pas eu d’activité et ils doivent reprendre. Et si on doit les recenser on doit aller au-delà des communes. C’est en cela que la présence du ministre est plus que salutaire d’autant plus que les sous-préfets dans les villages, les chefs de village sont des relais de l’administration du territoire » a poursuivi le président du Sénat.
Pour lui il n’est pas impossible d’atteindre « tout ce petit personnel » qui généralement est organisé secteur par secteur et qui éprouve de réelles difficultés à se refaire après les effets pervers des mesures barrières du coronavirus.
« Il faut qu’on montre la solidarité dans le partage. Il faut atteindre la base, c’est là où se trouvent les problèmes » a plaidé Ahoussou-Kouadio qui a distribué récemment une enveloppe globale d’un peu plus de 20 millions pour soutenir artisans et opérateurs des secteurs coiffure, maquis et restauration de sa région natale, le Bélier.
(AIP)
gso/kam
« Nous avons la responsabilité de porter les cris de désespoir de ces personnes, ces femmes qui le matin vendent un peu de pain sucré, font leurs activités autour des écoles primaires qui leur permettent d’avoir un peu d’argent pour subvenir aux besoins de leurs familles », a indiqué Ahoussou-Kouadio.
« Cela fait deux mois qu’ils n’ont pas eu d’activité et ils doivent reprendre. Et si on doit les recenser on doit aller au-delà des communes. C’est en cela que la présence du ministre est plus que salutaire d’autant plus que les sous-préfets dans les villages, les chefs de village sont des relais de l’administration du territoire » a poursuivi le président du Sénat.
Pour lui il n’est pas impossible d’atteindre « tout ce petit personnel » qui généralement est organisé secteur par secteur et qui éprouve de réelles difficultés à se refaire après les effets pervers des mesures barrières du coronavirus.
« Il faut qu’on montre la solidarité dans le partage. Il faut atteindre la base, c’est là où se trouvent les problèmes » a plaidé Ahoussou-Kouadio qui a distribué récemment une enveloppe globale d’un peu plus de 20 millions pour soutenir artisans et opérateurs des secteurs coiffure, maquis et restauration de sa région natale, le Bélier.
(AIP)
gso/kam