Deux individus non encore identifiés, armés de pistolets ont tenté un braquage dans un magasin de transfert d’argent à Aboisso et ont été rattrapés par la foule aidée de la police, vendredi à Aboisso.
« C’est aux environs de 13 heures que j’ai entendu un coup de feu dans le magasin raconte un témoin» qui dit avoir vu alors sortir des lieux deux hommes armés.
L’un d’entre eux, aux cheveux tressés, certainement en colère pour n’avoir pas eu de butin, aurait tiré un coup de feu qui a atteint la gérante des lieux B. M au bras. C’est alors que des personnes se sont mises à les poursuivre.
L’un d’eux a été très vite maîtrisé par la foule et la police. Quant au second, c’est un peu plus loin vers le quartier Sokoura, qu’il a été rattrapé.
La foule en colère lui aurait asséné plusieurs coups avant que la police ne puisse l’extirper de leur main. Transporté au centre hospitalier régional (CHR) d’Aboisso il a succombé à ses blessures. Son acolyte est aux mains de la police, il répondra de ses actes devant la justice.
La gérante a été transférée au centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville pour subir les soins appropriés. Les braquages en pleine ville et en pleine journée sont des faits rares à Aboisso note-t-on.
(AIP)
akn/kam
« C’est aux environs de 13 heures que j’ai entendu un coup de feu dans le magasin raconte un témoin» qui dit avoir vu alors sortir des lieux deux hommes armés.
L’un d’entre eux, aux cheveux tressés, certainement en colère pour n’avoir pas eu de butin, aurait tiré un coup de feu qui a atteint la gérante des lieux B. M au bras. C’est alors que des personnes se sont mises à les poursuivre.
L’un d’eux a été très vite maîtrisé par la foule et la police. Quant au second, c’est un peu plus loin vers le quartier Sokoura, qu’il a été rattrapé.
La foule en colère lui aurait asséné plusieurs coups avant que la police ne puisse l’extirper de leur main. Transporté au centre hospitalier régional (CHR) d’Aboisso il a succombé à ses blessures. Son acolyte est aux mains de la police, il répondra de ses actes devant la justice.
La gérante a été transférée au centre hospitalier universitaire (CHU) de Treichville pour subir les soins appropriés. Les braquages en pleine ville et en pleine journée sont des faits rares à Aboisso note-t-on.
(AIP)
akn/kam