Abidjan - Le porte parole de la police nationale, le commissaire principal, Bleu Charlemagne, a indiqué samedi, que toute violation des mesures barrières dans les maquis et restaurants est un délit portant atteinte à la santé publique, donc tous ceux qui seront surpris entrain d’enfreindre ces mesures lors de leurs beuveries seront punis.
«Je voudrais donc dire qu’il pèse au principal sur ceux qui vont être amenés à violer les mesures en vigueur, l’infraction retenue en la matière est l’atteinte à la santé publique. C’est un délit prévu et puni par notre code pénal donc faisons attention à tout ce que nous allons faire dans les maquis et restaurants», a déclaré le commissaire principal Charlemagne Bleu, lors de la conférence de presse journalière tenue à Abidjan-Plateau au cabinet du ministre de la Sécurité et de la Protection civile.
Poursuivant, il a souligné qu’ «après l’allègement des mesures restrictives à Abidjan et à l’intérieur du pays, les maquis et les restaurants ont été pris d’assaut par les clients de toutes les couches sociales. Le danger que l’on court dans ces conditions, c’est le risque de voir fouler aux pieds les mesures barrières, sécuritaires et sanitaires que sont notamment le port du masque qui est devenu obligatoire dans le Grand Abidjan et dans les lieux publics, le respect de la distanciation physique d’un mètre et le lavage régulier des mains ».
« Si l’on peut comprendre que l’on peut pas boire ou manger sans enlever son masque. On peut néanmoins accepter de tenir la bonne distance avec ses voisins et avant d’aborder toutes parties de beuveries et de restaurations de se laver les mains au moins pour éviter d’être punis », a conseillé le porte parole de la police nationale, le commissaire Charlemagne Bleu.
Pour sensibiliser les tenanciers de maquis et restaurants à Abidjan et à l'intérieur du pays, la police nationale et la nouvelle association des tenanciers de maquis et restaurants dirigée par Josué Gnahoua, ont initié des tournées, a-t-on appris.
(AIP)
tg/kam
«Je voudrais donc dire qu’il pèse au principal sur ceux qui vont être amenés à violer les mesures en vigueur, l’infraction retenue en la matière est l’atteinte à la santé publique. C’est un délit prévu et puni par notre code pénal donc faisons attention à tout ce que nous allons faire dans les maquis et restaurants», a déclaré le commissaire principal Charlemagne Bleu, lors de la conférence de presse journalière tenue à Abidjan-Plateau au cabinet du ministre de la Sécurité et de la Protection civile.
Poursuivant, il a souligné qu’ «après l’allègement des mesures restrictives à Abidjan et à l’intérieur du pays, les maquis et les restaurants ont été pris d’assaut par les clients de toutes les couches sociales. Le danger que l’on court dans ces conditions, c’est le risque de voir fouler aux pieds les mesures barrières, sécuritaires et sanitaires que sont notamment le port du masque qui est devenu obligatoire dans le Grand Abidjan et dans les lieux publics, le respect de la distanciation physique d’un mètre et le lavage régulier des mains ».
« Si l’on peut comprendre que l’on peut pas boire ou manger sans enlever son masque. On peut néanmoins accepter de tenir la bonne distance avec ses voisins et avant d’aborder toutes parties de beuveries et de restaurations de se laver les mains au moins pour éviter d’être punis », a conseillé le porte parole de la police nationale, le commissaire Charlemagne Bleu.
Pour sensibiliser les tenanciers de maquis et restaurants à Abidjan et à l'intérieur du pays, la police nationale et la nouvelle association des tenanciers de maquis et restaurants dirigée par Josué Gnahoua, ont initié des tournées, a-t-on appris.
(AIP)
tg/kam