Avec les mesures prises par les autorités pour lutter contre la pandémie du coronavirus, qui a touché, à la date du dimanche 17 mai 2020, 2109 personnes pour 1004 guéries et 27 décès, c’est l’accalmie dans plusieurs secteurs d'activité en Côte d’Ivoire.
Mais, au Port autonome d’Abidjan, un des principaux d'Afrique de l'Ouest, et le poumon économique du pays, assurant 90% de ses échanges extérieurs, le trafic se poursuit, du terminal à conteneurs au port de pêche, en passant par les quais minéralier, fruitier, roulier. « L'activité ne s'est jamais arrêtée pour la bonne et simple raison que les bateaux continuaient à arriver tous les jours.
Les trois premiers mois de 2020 n'ont quasiment pas été affectés par le Covid-19. A fin mars, Abidjan Terminal a traité 174.425 conteneurs, en hausse de 6% par rapport à l'année 2019 sur la même période », a confié Asta-Rosa CISSE, directrice générale d'Abidjan Terminal, exploité par le groupe français Bolloré, à TV5 Monde.
Selon elle, le rôle de sa structure, qui a travaillé « nuit et jour pour approvisionner l’hinterland », a été « déterminant » pour que «la crise sanitaire ne se transforme pas en crise sociale et économique ». « Le train marchandises ne s'est jamais arrêté », a souligné Mme Cissé, d’après des propos rapportés par le confrère.
A en croire TV5 Monde, quelque 600.000 conteneurs sont traités par an à Abidjan-Terminal qui connait depuis 2012 une croissance de 12% par an, dopée par les produits agricoles (cacao, banane, hévéa, coton, mangue, papaye, coprah, noix de cajou), ainsi que les grands travaux d'infrastructure réalisés en Côte d'Ivoire.
Face à l'épidémie de coronavirus, en plus des postes de lavage des mains disséminés sur tout le périmètre du port, la désinfection des portiques, des tracteurs et des camions, un système de rotation a été instauré au terminal des conteneurs, pour, a dit Mme Cissé, « réduire le nombre de personnels, avec port du masque obligatoire et distanciation physique ».
Mais, au Port autonome d’Abidjan, un des principaux d'Afrique de l'Ouest, et le poumon économique du pays, assurant 90% de ses échanges extérieurs, le trafic se poursuit, du terminal à conteneurs au port de pêche, en passant par les quais minéralier, fruitier, roulier. « L'activité ne s'est jamais arrêtée pour la bonne et simple raison que les bateaux continuaient à arriver tous les jours.
Les trois premiers mois de 2020 n'ont quasiment pas été affectés par le Covid-19. A fin mars, Abidjan Terminal a traité 174.425 conteneurs, en hausse de 6% par rapport à l'année 2019 sur la même période », a confié Asta-Rosa CISSE, directrice générale d'Abidjan Terminal, exploité par le groupe français Bolloré, à TV5 Monde.
Selon elle, le rôle de sa structure, qui a travaillé « nuit et jour pour approvisionner l’hinterland », a été « déterminant » pour que «la crise sanitaire ne se transforme pas en crise sociale et économique ». « Le train marchandises ne s'est jamais arrêté », a souligné Mme Cissé, d’après des propos rapportés par le confrère.
A en croire TV5 Monde, quelque 600.000 conteneurs sont traités par an à Abidjan-Terminal qui connait depuis 2012 une croissance de 12% par an, dopée par les produits agricoles (cacao, banane, hévéa, coton, mangue, papaye, coprah, noix de cajou), ainsi que les grands travaux d'infrastructure réalisés en Côte d'Ivoire.
Face à l'épidémie de coronavirus, en plus des postes de lavage des mains disséminés sur tout le périmètre du port, la désinfection des portiques, des tracteurs et des camions, un système de rotation a été instauré au terminal des conteneurs, pour, a dit Mme Cissé, « réduire le nombre de personnels, avec port du masque obligatoire et distanciation physique ».