Yamoussoukro – Des mesures barrières contre la Covid-19, à savoir la distanciation, le lavage des mains et le port d’un cache-nez sont violées dans des établissements de la capitale politique, Yamoussoukro, qui ont ouvert leurs portes lundi à l’appel du gouvernement.
En dehors du lycée Mamie Adjoua où un dispositif de lavage des mains est bien en évidence à l’entrée de l’établissement, la presque totalité des autres écoles n’en ont pas. Tout le temps qu’ils sont restés à l’école peu d’élèves se sont lavé les mains comme le recommande le conseil national de sécurité.
« C’est impensable de mettre ainsi élèves et enseignants en danger même si on pense qu’il n’y a pas de cas à l’intérieur du pays. On ne sait pas d’où viennent les uns et les autres depuis le déclenchement de cette crise sanitaire », a déclaré une parente d’élève, Konan Amoin Georgette.
Pour la distanciation sociale, des mesures ont été prises dans certaines écoles qui ont scindé les effectifs mais une fois que la cloche de la récréation sonne ou avant même l’arrivée des enseignants les élèves se frottent à qui mieux mieux.
Par ailleurs très peu d’élèves ont accès au cache-nez. Cet instrument préconisé dans la lutte n’a été distribué dans aucun établissement et les élèves doivent les acheter. Pour le premier jour, les éducateurs font preuve de souplesse mais promettent d’être plus rigoureux dès mardi.
gso/ask
En dehors du lycée Mamie Adjoua où un dispositif de lavage des mains est bien en évidence à l’entrée de l’établissement, la presque totalité des autres écoles n’en ont pas. Tout le temps qu’ils sont restés à l’école peu d’élèves se sont lavé les mains comme le recommande le conseil national de sécurité.
« C’est impensable de mettre ainsi élèves et enseignants en danger même si on pense qu’il n’y a pas de cas à l’intérieur du pays. On ne sait pas d’où viennent les uns et les autres depuis le déclenchement de cette crise sanitaire », a déclaré une parente d’élève, Konan Amoin Georgette.
Pour la distanciation sociale, des mesures ont été prises dans certaines écoles qui ont scindé les effectifs mais une fois que la cloche de la récréation sonne ou avant même l’arrivée des enseignants les élèves se frottent à qui mieux mieux.
Par ailleurs très peu d’élèves ont accès au cache-nez. Cet instrument préconisé dans la lutte n’a été distribué dans aucun établissement et les élèves doivent les acheter. Pour le premier jour, les éducateurs font preuve de souplesse mais promettent d’être plus rigoureux dès mardi.
gso/ask