Abidjan – La reprise des cours est effective depuis lundi, dans les villes de l’intérieur du pays avec la volonté manifeste des responsables d’établissements scolaires de veiller au strict respect des mesures barrières contre la Covid 19.
Le proviseur du lycée Henri Konan Bédié 2 de Daoukro, Kalidou Hidé a salué l'effectivité de la reprise des cours dans son établissement, avant d’appeler les enseignants à respecter les mesures barrières. A cet effet, le secrétaire général 2 de la Direction régionale de l'éducation nationale, de l'enseignement technique et de la formation professionnelle (Drenetfp) de la région de l'Iffou, Paul Séry a déclaré que le port de cache-nez n'est pas pour le moment une condition d'expulsion des élèves.
La question des cache-nez a constitué à Tengrela, une des raisons majeures de la reprise timide des cours au lycée moderne de cette localité. Les enseignants et les élèves attendaient d'en être fournis par l'État. Le trésorier du comité de gestion des établissements scolaires (COGES) de ce lycée, Adama Traoré a promis de commander 1200 cache-nez lavables à Korhogo, à cet effet.
Ce souci technique a été résolu au lycée moderne de Guiglo, ou du matériel de protection a été distribué aux enseignants présents, à savoir, des masques et des marqueurs individuels . Les seaux à robinets pour le lavage des mains étaient, aussi, visibles à certains endroits de l'établissement. Et les classes ont été divisées avec un effectif de 30 élèves par classe. Toutefois , dans le primaire, le taux d'absence au niveau des élèves était élevé.
De même à Sakassou, au groupe scolaire Mamie Aya N’Go (GSMAN’GO), le fondateur Akoto Yao Félix a fourni des cache-nez à la quasi-totalité des personnels et aux élèves. Et des établissements scolaires avaient installés des lave-mains. Le respect des mesures barrières doivent être une exigence, a insisté l’Inspecteur Abou Koffi Benoît, dans sa tournée dans les écoles du primaire.
A Béoumi, le préfet de ce département, Jules Gouessé a déclaré, lors les visites dans certaines classes de troisième et de terminale des établissements scolaires, avoir pris des dispositions de concert avec les couturiers pour la confection de cache-nez à moindre coût. Il a remarqué que les gels hydroalcooliques étaient présents dans toutes les salles et que les élèves ne portaient pas de cache-nez.
Dans cette veine, le préfet du département de Ouangolodougou, Sory Jean Pierre a visité le lycée Moderne Alassane Ouattara de la ville pour constater l’effectivité de la reprise des cours et s'enquérir des difficultés.
"C'est avec un réel plaisir que nous vous retrouvons en classe. Prenez votre travail au sérieux pour terminer en beauté l'année scolaire " a adressé le préfet de Tabou, Mme Kalidja Kouamé, lors de la visite des salles de classes du lycée moderne Barou Adjéhi Valentin de Tabou. Elle s'est réjouie de la présence massive des élèves et des enseignants.
"Je constate que la mesure de distanciation est respectée. Mais la plupart d'entre vous n'ont pas de masque et il n'y a pas de dispositif de lavage des mains dans votre établissement" a-t-elle constaté.
La plupart des élèves de terminale et de la troisième du lycée public Coffi Gadeau de Tiébissou ont repris le chemin de l'école, selon les critères de distanciation sociale de la Covid 19. Au collège privé du Kan, un nombre important d'élèves ont brillé par leur absence. Quand une réunion de rentrée avait cours aux collèges Marcel Ranchin, Bill Gates et Enoc.
A Grabo, tous les établissements primaires et secondaires de la sous-préfecture de Grabo ont rouvert leurs classes pour la reprise des cours a l'exception de la maternelle.
Le proviseur du Lycée moderne Jules Hie Nea, Brou Kouadio René s'est réjoui de la présence massive du personnel éducatif. Il a assuré être en en contact avec ceux restés à Abidjan dont les dispositions sont entrain d'être prises pour assurer sainement leur retour dans les classes.
(AIP)
ca/kkc/tkt/tn/nyl/ck/bb/myk/asf/nmfa/ask
Le proviseur du lycée Henri Konan Bédié 2 de Daoukro, Kalidou Hidé a salué l'effectivité de la reprise des cours dans son établissement, avant d’appeler les enseignants à respecter les mesures barrières. A cet effet, le secrétaire général 2 de la Direction régionale de l'éducation nationale, de l'enseignement technique et de la formation professionnelle (Drenetfp) de la région de l'Iffou, Paul Séry a déclaré que le port de cache-nez n'est pas pour le moment une condition d'expulsion des élèves.
La question des cache-nez a constitué à Tengrela, une des raisons majeures de la reprise timide des cours au lycée moderne de cette localité. Les enseignants et les élèves attendaient d'en être fournis par l'État. Le trésorier du comité de gestion des établissements scolaires (COGES) de ce lycée, Adama Traoré a promis de commander 1200 cache-nez lavables à Korhogo, à cet effet.
Ce souci technique a été résolu au lycée moderne de Guiglo, ou du matériel de protection a été distribué aux enseignants présents, à savoir, des masques et des marqueurs individuels . Les seaux à robinets pour le lavage des mains étaient, aussi, visibles à certains endroits de l'établissement. Et les classes ont été divisées avec un effectif de 30 élèves par classe. Toutefois , dans le primaire, le taux d'absence au niveau des élèves était élevé.
De même à Sakassou, au groupe scolaire Mamie Aya N’Go (GSMAN’GO), le fondateur Akoto Yao Félix a fourni des cache-nez à la quasi-totalité des personnels et aux élèves. Et des établissements scolaires avaient installés des lave-mains. Le respect des mesures barrières doivent être une exigence, a insisté l’Inspecteur Abou Koffi Benoît, dans sa tournée dans les écoles du primaire.
A Béoumi, le préfet de ce département, Jules Gouessé a déclaré, lors les visites dans certaines classes de troisième et de terminale des établissements scolaires, avoir pris des dispositions de concert avec les couturiers pour la confection de cache-nez à moindre coût. Il a remarqué que les gels hydroalcooliques étaient présents dans toutes les salles et que les élèves ne portaient pas de cache-nez.
Dans cette veine, le préfet du département de Ouangolodougou, Sory Jean Pierre a visité le lycée Moderne Alassane Ouattara de la ville pour constater l’effectivité de la reprise des cours et s'enquérir des difficultés.
"C'est avec un réel plaisir que nous vous retrouvons en classe. Prenez votre travail au sérieux pour terminer en beauté l'année scolaire " a adressé le préfet de Tabou, Mme Kalidja Kouamé, lors de la visite des salles de classes du lycée moderne Barou Adjéhi Valentin de Tabou. Elle s'est réjouie de la présence massive des élèves et des enseignants.
"Je constate que la mesure de distanciation est respectée. Mais la plupart d'entre vous n'ont pas de masque et il n'y a pas de dispositif de lavage des mains dans votre établissement" a-t-elle constaté.
La plupart des élèves de terminale et de la troisième du lycée public Coffi Gadeau de Tiébissou ont repris le chemin de l'école, selon les critères de distanciation sociale de la Covid 19. Au collège privé du Kan, un nombre important d'élèves ont brillé par leur absence. Quand une réunion de rentrée avait cours aux collèges Marcel Ranchin, Bill Gates et Enoc.
A Grabo, tous les établissements primaires et secondaires de la sous-préfecture de Grabo ont rouvert leurs classes pour la reprise des cours a l'exception de la maternelle.
Le proviseur du Lycée moderne Jules Hie Nea, Brou Kouadio René s'est réjoui de la présence massive du personnel éducatif. Il a assuré être en en contact avec ceux restés à Abidjan dont les dispositions sont entrain d'être prises pour assurer sainement leur retour dans les classes.
(AIP)
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