Dimbokro - Vingt-cinq femmes rurales ont été formées en communication pour le changement de comportement, lors d’un atelier initié mardi par l’ONG "Communiquons Plus", à la mairie de Kouassi-kouassikro
Cet atelier a été l’occasion pour le formateur, Dr Bogui Eric, directeur départemental de la santé de Kouassi-Kouassikro, d'expliquer aux femmes participantes les symptômes, le mode de contamination et les mesures de prévention aussi bien du paludisme que de COVID-19.
Il a les a invitées à la vigilance face aux nombreuses rumeurs, les exhortant à fréquenter les centres de santé, lieu où circule la bonne information.
Le président de l’ONG, Allah Akiwa, a affirmé que le taux de fréquentation des centres de santé par les femmes dans le département a diminué depuis l’avènement de la pandémie du coronavirus. Il a justifié cette situation par la circulation de mauvaises informations notamment les fake news.
« Le monde entier traverse une crise sanitaire. Il est important pour nous de plus communiquer bien et juste car un message mal véhiculé a des retombées néfastes sur la communauté », a-t-il affirmé.
M. Akiwa a déploré cet état de fait qui, a-t-il averti, peut entrainer la résurgence de nombreuses maladies notamment le paludisme et la poliomyélite. Il a mis les participantes à l’atelier en mission de sensibilisation auprès des pairs dans les villages de la localité pour rompre la chaine de contamination de ces « anciennes maladies » et du COVID-19.
A la clôture, le Maire Bertin Kouadio a apporté ses encouragements aux participantes, leur témoignant de son soutien. Créée en 2016, l’ONG "Communiquons Plus" a, à son actif, plusieurs actions aussi bien dans le l’éducation que dans le secteur santé, environnement et sport.
(AIP)
ik/fmo
Cet atelier a été l’occasion pour le formateur, Dr Bogui Eric, directeur départemental de la santé de Kouassi-Kouassikro, d'expliquer aux femmes participantes les symptômes, le mode de contamination et les mesures de prévention aussi bien du paludisme que de COVID-19.
Il a les a invitées à la vigilance face aux nombreuses rumeurs, les exhortant à fréquenter les centres de santé, lieu où circule la bonne information.
Le président de l’ONG, Allah Akiwa, a affirmé que le taux de fréquentation des centres de santé par les femmes dans le département a diminué depuis l’avènement de la pandémie du coronavirus. Il a justifié cette situation par la circulation de mauvaises informations notamment les fake news.
« Le monde entier traverse une crise sanitaire. Il est important pour nous de plus communiquer bien et juste car un message mal véhiculé a des retombées néfastes sur la communauté », a-t-il affirmé.
M. Akiwa a déploré cet état de fait qui, a-t-il averti, peut entrainer la résurgence de nombreuses maladies notamment le paludisme et la poliomyélite. Il a mis les participantes à l’atelier en mission de sensibilisation auprès des pairs dans les villages de la localité pour rompre la chaine de contamination de ces « anciennes maladies » et du COVID-19.
A la clôture, le Maire Bertin Kouadio a apporté ses encouragements aux participantes, leur témoignant de son soutien. Créée en 2016, l’ONG "Communiquons Plus" a, à son actif, plusieurs actions aussi bien dans le l’éducation que dans le secteur santé, environnement et sport.
(AIP)
ik/fmo