Abidjan - L’ONG « Sport for peace » (SFP pour Sport pour la paix) déplore « amèrement » la mort tragique du couple Laurence Adonis-Koffy et de leur enfant le samedi 23 mai à Cocody-Angré en pleine activité sportive, dans un communiqué transmis mardi à l’AIP.
La pratique du sport étant un droit fondamental recommandé à cause de ses nombreux avantages sur la santé, l'ONG SFP, « amèrement affligée, condamne vigoureusement cet homicide qu'elle trouve de trop ».
« Hier c'était Raoul, un agent de la SOTRA qui s'est vu renverser par un « Gbaka » alors qu'il pratiquait le sport dans la belle cité de Yopougon, laissant derrière lui une épouse et des enfants. Adieu Raoul... Aujourd'hui, c'est une icône de la médecine qui se voit faucher avec son tendre époux et leur fils pendant qu'ils pratiquaient également le sport en famille. Tout le corps social est meurtri », déplore le président de Sport for peace, Ambroise Oria.
Activiste de la pratique du sport à travers le Festival sportif d’Abidjan (FESA), Ambroise Oria recommande aux conducteurs davantage de civisme, de vigilance face aux piétons, aux sportifs et même aux animaux, les exhortant à prendre conscience des dangers du non-respect du code de la route parce que « la route ne tue pas, c'est plutôt nous qui tuons ».
« Nous exhortons nos autorités, dans la dynamique du déconfinement progressif, de permettre dans la mesure du possible, la réouverture avec des recommandations claires, des espaces publics de sports, salles de sports, gymnases, piscines (...) à prendre des mesures à l'endroit des promoteurs immobiliers, des collectivités pour la création d'espaces à proximité des cités pour la pratique du sport pour tous ».
Aux amoureux du « Sport-Santé », il invite à la vigilance dans la pratique du sport le long des voies publiques, « voire s’abstenir à cause de l'imprudence de certains conducteurs ».
Après la 2ème édition du Festival sportif d’Abidjan au stade de Bingerville, la 3ème sur le thème « Le sport au service du développement et de la paix en contexte de pays émergent », initialement prévue du 3 au 6 avril dernier, a été reportée à une date non encore déterminée.
(AIP)
aaa/kam
La pratique du sport étant un droit fondamental recommandé à cause de ses nombreux avantages sur la santé, l'ONG SFP, « amèrement affligée, condamne vigoureusement cet homicide qu'elle trouve de trop ».
« Hier c'était Raoul, un agent de la SOTRA qui s'est vu renverser par un « Gbaka » alors qu'il pratiquait le sport dans la belle cité de Yopougon, laissant derrière lui une épouse et des enfants. Adieu Raoul... Aujourd'hui, c'est une icône de la médecine qui se voit faucher avec son tendre époux et leur fils pendant qu'ils pratiquaient également le sport en famille. Tout le corps social est meurtri », déplore le président de Sport for peace, Ambroise Oria.
Activiste de la pratique du sport à travers le Festival sportif d’Abidjan (FESA), Ambroise Oria recommande aux conducteurs davantage de civisme, de vigilance face aux piétons, aux sportifs et même aux animaux, les exhortant à prendre conscience des dangers du non-respect du code de la route parce que « la route ne tue pas, c'est plutôt nous qui tuons ».
« Nous exhortons nos autorités, dans la dynamique du déconfinement progressif, de permettre dans la mesure du possible, la réouverture avec des recommandations claires, des espaces publics de sports, salles de sports, gymnases, piscines (...) à prendre des mesures à l'endroit des promoteurs immobiliers, des collectivités pour la création d'espaces à proximité des cités pour la pratique du sport pour tous ».
Aux amoureux du « Sport-Santé », il invite à la vigilance dans la pratique du sport le long des voies publiques, « voire s’abstenir à cause de l'imprudence de certains conducteurs ».
Après la 2ème édition du Festival sportif d’Abidjan au stade de Bingerville, la 3ème sur le thème « Le sport au service du développement et de la paix en contexte de pays émergent », initialement prévue du 3 au 6 avril dernier, a été reportée à une date non encore déterminée.
(AIP)
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