Abidjan- L’Institut pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI) a reçu, jeudi, à Abidjan, un appui de 500 millions de francs CFA de l’Agence française de développement (AFD) pour l’acquisition d’équipements scientifiques afin de renforcer le plateau technique de ses laboratoires dans le cadre du plan de lutte contre le COVID-19.
Cet appui financier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet Appui à la modernisation et la réforme des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE) du deuxième Contrat de désendettement et de développement (C2D).
La directrice de l’IPCI, Mireille Dosso, a réceptionné le chèque symbolique des mains du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, en présence de l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Gilles Huberson.
Elle a donné l’assurance de faire un bon usage des équipements qui seront commandés et réitéré l’engagement de l’Institut à poursuivre ses activités dans le cadre du plan de riposte contre la pandémie de COVID-19.
L’Ambassadeur Huberson a indiqué que ce don s’inscrit dans la volonté de la France d’accompagner la Côte d’Ivoire dans l’amélioration de son volet Education-formation. Il a révélé un autre appui financier de 4,8 milliards de francs destiné à l’IPCI pour la rénovation de ses bâtiments, le renforcement de son réseau et la sécurisation du site.
Le don de 500 millions de francs pour l’amélioration du plateau technique et le soutien de 4,8 milliards de francs CFA pour la réhabilitation de l’IPCI, selon le Ministre Diawara, témoignent non seulement, de l’engagement de la France de redynamiser la recherche scientifique en Côte d’Ivoire mais aussi, d’ériger l’IPCI au rang des instituts « performants ».
« Je voudrais adresser mes remerciements et ceux de la communauté universitaire et de recherche pour les appuis multiples et multiformes que nous apporte la France, contribuant ainsi de façon substantielle à l’atteinte des objectifs qui nous ont été assignés par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara », a-t-il confié.
L’IPCI est l’un des établissements en première ligne de la lutte contre le COVID-19 depuis le diagnostic du premier cas, en mars, en territoire ivoirien. Ce sont ses laboratoires qui sont utilisés pour l’analyse des échantillons prélevés sur les cas suspects.
Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) créé en 1972, l’Institut est localisé sur deux sites qui sont Adiopodoumé (route de Dabou) et le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody. Ses missions sont la recherche, la formation, le diagnostic et la surveillance épidémiologique.
fmo
Cet appui financier s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet Appui à la modernisation et la réforme des universités et grandes écoles de Côte d’Ivoire (AMRUGE) du deuxième Contrat de désendettement et de développement (C2D).
La directrice de l’IPCI, Mireille Dosso, a réceptionné le chèque symbolique des mains du ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, en présence de l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, Gilles Huberson.
Elle a donné l’assurance de faire un bon usage des équipements qui seront commandés et réitéré l’engagement de l’Institut à poursuivre ses activités dans le cadre du plan de riposte contre la pandémie de COVID-19.
L’Ambassadeur Huberson a indiqué que ce don s’inscrit dans la volonté de la France d’accompagner la Côte d’Ivoire dans l’amélioration de son volet Education-formation. Il a révélé un autre appui financier de 4,8 milliards de francs destiné à l’IPCI pour la rénovation de ses bâtiments, le renforcement de son réseau et la sécurisation du site.
Le don de 500 millions de francs pour l’amélioration du plateau technique et le soutien de 4,8 milliards de francs CFA pour la réhabilitation de l’IPCI, selon le Ministre Diawara, témoignent non seulement, de l’engagement de la France de redynamiser la recherche scientifique en Côte d’Ivoire mais aussi, d’ériger l’IPCI au rang des instituts « performants ».
« Je voudrais adresser mes remerciements et ceux de la communauté universitaire et de recherche pour les appuis multiples et multiformes que nous apporte la France, contribuant ainsi de façon substantielle à l’atteinte des objectifs qui nous ont été assignés par le chef de l’Etat, Alassane Ouattara », a-t-il confié.
L’IPCI est l’un des établissements en première ligne de la lutte contre le COVID-19 depuis le diagnostic du premier cas, en mars, en territoire ivoirien. Ce sont ses laboratoires qui sont utilisés pour l’analyse des échantillons prélevés sur les cas suspects.
Etablissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) créé en 1972, l’Institut est localisé sur deux sites qui sont Adiopodoumé (route de Dabou) et le Centre hospitalier universitaire (CHU) de Cocody. Ses missions sont la recherche, la formation, le diagnostic et la surveillance épidémiologique.
fmo
