Une cérémonie de remise symbolique d’un chèque de 500 millions de F cfa par la France dans le cadre du Contrat de Désendettement et de Développement (C2D) à l’Institut Pasteur de Côte d’Ivoire (IPCI), s’est déroulée ce jeudi 4 juin, à Adiopodoumé (route de Dabou), au siège de l’Institut. Ce financement permettra à l’IPCI d’acquérir des équipements techniques spécifiques afin de renforcer son plateau technique, ‘’en cette période de maladie à coronavirus où il est beaucoup sollicité’’.
Ce don est une illustration parfaite de la meilleure appréciation des efforts financiers déployés par l’Etat de Côte d’Ivoire et ses partenaires au développement, notamment la France, pour le renforcement des capacités opérationnelles de l’Institut Pasteur dans la mise en place du plan de riposte contre la COVID-19.
Co-présidant cette remise symbolique avec l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, a déclaré que ‘’cet appui du C2D s’inscrit dans la suite logique de ceux apportés précédemment pour maintenir l’IPCI au rang des meilleurs instituts de recherche en Afrique’’. « Vous avez pris la bonne mesure des enjeux de notre secteur d’activité car l’IPCI est un établissement d’excellence avec un plateau technique et un dispositif de formations au standard international », a-t-il indiqué.
L’Ambassadeur de France, Gilles Huberson, a soutenu, quant à lui, que la France entend demeurer le premier partenaire bilatéral de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre la pandémie de la Covid-19. « Pour ce partenariat si fort, il faut être présent dans le secteur de la Santé et de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique », a-t-il dit.
Il a par ailleurs précisé que ce chèque de 500 millions vient après un premier chèque remis en mai dernier à l’IPCI, d’un coût de 4,8 milliards F cfa, destiné à des investissements lourds pour l’IPCI. Il s’agit notamment de renforcer la sécurité du site d’Adiopodoumé, d’une électrification sécuritaire, de l’achat de matériel, de test y compris la formation. En ce qui concerne la gestion des 500 millions F cfa, le diplomate français a fait savoir que le choix des équipements à acheter revenait entièrement à la direction de l’IPCI.
Ayant réceptionné le chèque, la directrice générale de l’IPCI, Dosso Mireille, a exprimé sa grande reconnaissance à l’Ambassade de France, à l’Unité de coordination du projet Education formation du C2D, à l’Agence Française de Développement ainsi qu’à sa tutelle. Selon elle, cet appui financier vient à point nommé pour l’achat d’équipements de pointe face à la mission de cet institut à travailler sur des agents pathogènes dangereux.
R. K.
Ce don est une illustration parfaite de la meilleure appréciation des efforts financiers déployés par l’Etat de Côte d’Ivoire et ses partenaires au développement, notamment la France, pour le renforcement des capacités opérationnelles de l’Institut Pasteur dans la mise en place du plan de riposte contre la COVID-19.
Co-présidant cette remise symbolique avec l’Ambassadeur de France en Côte d’Ivoire, le nouveau ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Adama Diawara, a déclaré que ‘’cet appui du C2D s’inscrit dans la suite logique de ceux apportés précédemment pour maintenir l’IPCI au rang des meilleurs instituts de recherche en Afrique’’. « Vous avez pris la bonne mesure des enjeux de notre secteur d’activité car l’IPCI est un établissement d’excellence avec un plateau technique et un dispositif de formations au standard international », a-t-il indiqué.
L’Ambassadeur de France, Gilles Huberson, a soutenu, quant à lui, que la France entend demeurer le premier partenaire bilatéral de la Côte d’Ivoire dans la lutte contre la pandémie de la Covid-19. « Pour ce partenariat si fort, il faut être présent dans le secteur de la Santé et de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique », a-t-il dit.
Il a par ailleurs précisé que ce chèque de 500 millions vient après un premier chèque remis en mai dernier à l’IPCI, d’un coût de 4,8 milliards F cfa, destiné à des investissements lourds pour l’IPCI. Il s’agit notamment de renforcer la sécurité du site d’Adiopodoumé, d’une électrification sécuritaire, de l’achat de matériel, de test y compris la formation. En ce qui concerne la gestion des 500 millions F cfa, le diplomate français a fait savoir que le choix des équipements à acheter revenait entièrement à la direction de l’IPCI.
Ayant réceptionné le chèque, la directrice générale de l’IPCI, Dosso Mireille, a exprimé sa grande reconnaissance à l’Ambassade de France, à l’Unité de coordination du projet Education formation du C2D, à l’Agence Française de Développement ainsi qu’à sa tutelle. Selon elle, cet appui financier vient à point nommé pour l’achat d’équipements de pointe face à la mission de cet institut à travailler sur des agents pathogènes dangereux.
R. K.