Odienné- La cellule anti-drogue de la gendarmerie d’Odienné a procédé, lundi, à l’incinération de huit kg de cannabis et de 2, 5 tonnes de médicaments de mauvaise qualité, saisis sur une période de 12 mois.
Le cannabis (sous la forme brute ou travaillée), le lot de médicaments falsifiés et les divers autres produits prohibés ont été passés au feu, à la décharge municipale, sous le regard du substitut résident du procureur, Thierry Bobi, présent pour exécuter la décision d’incinération prise par les autorités judiciaires.
Il a rappelé, à l’occasion, l’intérêt de telles actions, sous tendues par la nécessité et l’obligation qu’à l’Etat de protéger la santé des populations dont certaines ne mesurent pas toujours les risques qu’elles encourent en usant de ces produits.
Le substitut résident du procureur s’est félicité du travail abattu par la cellule anti-drogue local, tout en appelant à la responsabilité au sein des différentes populations. « Les consignes sont suivies, nous sommes en train de réussir, nous tenons le bon bout », a-t-il déclaré.
Les médicaments de qualité inférieure brûlés étaient composés notamment de tramadol, de diazepam, de rivotrine, de gébédol, de reelix etra, de doxy 200.
kg/ask
Le cannabis (sous la forme brute ou travaillée), le lot de médicaments falsifiés et les divers autres produits prohibés ont été passés au feu, à la décharge municipale, sous le regard du substitut résident du procureur, Thierry Bobi, présent pour exécuter la décision d’incinération prise par les autorités judiciaires.
Il a rappelé, à l’occasion, l’intérêt de telles actions, sous tendues par la nécessité et l’obligation qu’à l’Etat de protéger la santé des populations dont certaines ne mesurent pas toujours les risques qu’elles encourent en usant de ces produits.
Le substitut résident du procureur s’est félicité du travail abattu par la cellule anti-drogue local, tout en appelant à la responsabilité au sein des différentes populations. « Les consignes sont suivies, nous sommes en train de réussir, nous tenons le bon bout », a-t-il déclaré.
Les médicaments de qualité inférieure brûlés étaient composés notamment de tramadol, de diazepam, de rivotrine, de gébédol, de reelix etra, de doxy 200.
kg/ask