Depuis le 1er juin, la Côte d’Ivoire est entrée dans une nouvelle phase de nombre de contaminations, allant à plus de 100 cas confirmés. Cette barre a été franchie dès la réouverture des établissements scolaires, obligeant élèves et enseignants à rejoindre leur zone. 162 cas le 06 juin, 182 cas le 07 juin, soit plus de 344 cas confirmés de COVID-19 en deux jours, sur un total de 1.793 échantillons.
Cocody, Marcory et Abobo sont les zones les plus touchées, aucune commune n’est épargnée. Toutes comptent des cas de contamination au COVID-19. Cette situation de plus en plus inquiétante s’explique, dans un premier temps, par le relâchement observé dans les mesures barrières. L’ouverture des maquis et restaurants, la limitation des rassemblements à plus de 200 personnes, le non-respect de la distanciation sociale. Dans les marchés, aucune norme édictée n’est respectée, le port du masque n’est pas véritablement respecté, dans les transports, même s’il y a un semblant d’observation, c’est juste parce que bien souvent, les contrôles policiers l’exigent. Mais une fois le barrage franchi, plus de respect.
Au niveau du ministère de la Santé, ce nombre s’explique, si l’on s’en tient au dire du Dr Kouassi Brou Edith, conseiller technique du ministre de la Santé, qui anime, chaque jour, la conférence de presse sur la pandémie du COVID-19, à la multiplication des centres de dépistage, (passés à 11 à ce jour dans le grand Abidjan) à un meilleur ciblage. Seules les personnes qui présentent des signes sont de plus en plus ciblées. Mais ce qu’il faut retenir, c’est le non-respect des mesures barrières qui explique cette situation. Il faut redoubler de vigilance, notamment le contrôle sur l’obligation du port du masque dans le grand Abidjan. Comme une litanie, le ministre Aka Aouélé insiste sur le fait que la pandémie n’est pas terminée.
Il rappelle aux populations que le virus est là dans notre pays et que nous devons rester prudents. Il en appelle à la responsabilité et au civisme de tous afin de respecter les mesures barrières notamment le lavage régulier des mains avec de l’eau et du savon, le port obligatoire du masque dans les espaces publics pour nous protéger et protéger les autres. Si l’on continue d’enregistrer de plus en plus de cas, il va sans dire qu’il faut prendre d’autres mesures parce que celles déjà édictées semblent avoir des failles. Si les cas confirmés continuent de grossir, un Conseil national de sécurité s’impose pour tirer les leçons et prendre les mesures idoines.
Cocody, Marcory et Abobo sont les zones les plus touchées, aucune commune n’est épargnée. Toutes comptent des cas de contamination au COVID-19. Cette situation de plus en plus inquiétante s’explique, dans un premier temps, par le relâchement observé dans les mesures barrières. L’ouverture des maquis et restaurants, la limitation des rassemblements à plus de 200 personnes, le non-respect de la distanciation sociale. Dans les marchés, aucune norme édictée n’est respectée, le port du masque n’est pas véritablement respecté, dans les transports, même s’il y a un semblant d’observation, c’est juste parce que bien souvent, les contrôles policiers l’exigent. Mais une fois le barrage franchi, plus de respect.
Au niveau du ministère de la Santé, ce nombre s’explique, si l’on s’en tient au dire du Dr Kouassi Brou Edith, conseiller technique du ministre de la Santé, qui anime, chaque jour, la conférence de presse sur la pandémie du COVID-19, à la multiplication des centres de dépistage, (passés à 11 à ce jour dans le grand Abidjan) à un meilleur ciblage. Seules les personnes qui présentent des signes sont de plus en plus ciblées. Mais ce qu’il faut retenir, c’est le non-respect des mesures barrières qui explique cette situation. Il faut redoubler de vigilance, notamment le contrôle sur l’obligation du port du masque dans le grand Abidjan. Comme une litanie, le ministre Aka Aouélé insiste sur le fait que la pandémie n’est pas terminée.
Il rappelle aux populations que le virus est là dans notre pays et que nous devons rester prudents. Il en appelle à la responsabilité et au civisme de tous afin de respecter les mesures barrières notamment le lavage régulier des mains avec de l’eau et du savon, le port obligatoire du masque dans les espaces publics pour nous protéger et protéger les autres. Si l’on continue d’enregistrer de plus en plus de cas, il va sans dire qu’il faut prendre d’autres mesures parce que celles déjà édictées semblent avoir des failles. Si les cas confirmés continuent de grossir, un Conseil national de sécurité s’impose pour tirer les leçons et prendre les mesures idoines.